QUIZZ P2F E8 J4/4

En piste!

Oddisee – That’s Love

Vous l’attendiez tous, la voilà, la dernière journée de la huitième série du grand QUIZZ P2F. Qui gagnera la huitième Pinte d’Or ?

Chaque semaine une ou plusieurs photos seront soumises à vos connaissances et ou à vos recherches !

Mode de décompte des points selon identification dans les commentaires :

Identification du match/date : 5 points.

Identification de l’équipe : 2 points.

Identification d’un joueur : 1 point.

Note artistique : notation au bon vouloir du jury.

Fin des votes la veille de la prochaine publication, soit dans six jours ! Le classement et les réponses de la dernière journée seront dans la prochaine parution du Quizz P2F. A la fin des quatre premières journées, le classement désignera le champion. Champion qui remettra automatiquement son titre en jeu dès le début de la prochaine série avec à nouveau quatre autres journées.

La règle est simple, premier arrivé premier servi, à vos claviers !

Bonus !!

Un grand merci et une belle pensée à mon cher Dip pour son expertise.

Réponse de la journée précédente:

Photo1:

Equipe: CS Sedan Ardennes, vice-championne de Ligue 2 (Division 2), promu en Ligue 1 (Division 1) et finaliste de la Coupe de France en 1998/99.

Date: 15 Mai 1999 lors de la finale de Coupe de France entre le CS Sedan Ardennes et le FC Nantes (0-1)

Joueurs:

2ème Rang: Nicolas Sachy, Eduardo Oliveira, Christophe Borbiconi, Olivier Quint, Alexandre Di Rocco, Eric Crosnier, Stéphane Laquait, Luis Satorra

1er Rang: Pierre Deblock, Cédric Elzéard, Bruno Pabois, Cédric Mionnet, Jean-Philippe Faure, Pius N’Diefi .

Photo 2:

Equipe: Dynamo Kiev

Date: 1985-1986

Joueurs:

Vladimir Bessonov, Oleg Kuznetsov, Sergei Baltacha, Viktor Czanov, Oleg Blokhin, Anatoly Demyanenko.

Alexandre Zavarov, Vasily Rats, Ivan Yaremchuk Igor Belanov, Pavel Yakovenko.

Soutenons les collègues!

TWB22: Coupe des Coupes 1985 1986 Dynamo Kiev Atletico Madrid

Quizz à la portée de tout le monde la semaine dernière ! Mais qui était consacré à deux belles équipes, légendaires même. Il est à noter que nous avons eu la chance d’avoir une flopée de beaux commentaires également cette semaine sous les articles. Mention spéciale à Agawa qui bénéficie d’un clin d’œil aujourd’hui!

Qui aura donc été le plus rapide cette semaine ? Place au classement.

Classement

  1. RuiCosta: 62 pts
  2. Alex: 23 pts
  3. Ajde: 25 pts
  4. Bobbyschanno: 14 pts
  5. Khiadiatoulin: 12 pts
  6. Verano82, Stade&Mayo, AlphaBet,Sacha Modolo et Matteo Trentin, Agawa: 2 pts

Voila la course en tête lusitanienne se poursuit! Qui va pouvoir le rattraper, lui barrer la route? Obtiendra-t-il sa première et tant désirée Pinte d’Or? Tant de questions.

Poursuivants ne lâchez rien!

Bonne semaine à tous!

29 réflexions sur « QUIZZ P2F E8 J4/4 »

      1. Merci pour cette délicate passe décisive ami Khia, comme quoi le premier arrivé n’est pas toujours le premier servi lol.

        0
        0
      2. J’avais compris que c’était la JSK mais j’aurais été incapable de sortir un nom. Hehe

        0
        0
  1. Logiquement on s’attendrait à un club portugais. Voire au Stade de Reims mais c’est pas leur genre de maillot. C’est très énervant car j’ai l’impression de connaître la plupart de ces bobines. Le deuxième debout à gauche pourrait à la rigueur faire penser à Diamantino, mais c’est pas Benfica ça, y aurait un blason et des noms qui reviendraient, bref??

    Celui qui est vraiment très, très noir fait penser à Jean-Pierre Adams, alors, en rouge et du blanc.. ==> Nîmes??

    Pas de pub sur le maillot, couleurs.. ==> début des années 70.

    Très frustrant! La tête du gardien par exemple.. Je connais, tout ça, mais??

    La bonus, ça c’est portugais.

    0
    0
      1. Non non, c’est juste que je m’attendais mordicus à ce qu’il y ait au moins une équipe portugaise.

        0
        0
  2. Merci pour cet aimable clin d’œil cher Goozigooze, je voulais dire pour ce cadeau empoisonné lol.

    Pour la seconde image, je crois qu’il s’agit bien de la Jeunesse Sportive de Kabylie, en tenue extérieur, au stade OUKIL RAMDAN. J’hésite entre la saison 67/68 (accession en première division) ou 68/69 (première saison en élite), mais compte tenu de la forte affluence j’opterai pour 68/69. Difficile de reconnaitre tous les joueurs (les photos et vidéos de cette époque sont extrêmement rares), mais je me jette dans l’eau tout de même:

    Debout de gauche à droite : Yahia Ouahabi (le blanc), Mustapha RefaÏ (le barbu), Arezki Kouffi (le moustachu), Ali Barkani (le gardien)
    Accroupis (en désordre) : Driss Kolli, Ali Ait Amar, Rabah Derdar, Mouloud Terzi
    Entraineur: Ali Benfadah.
    Président : Mansour Abtouche

    0
    0
      1. Tout à fait, c’est dans la foulée de ces pionniers que débarquent Djaafar Harouni, la mythique charnière centrale Mouloud Iboud-Moh Chérif Hannachi qui dura quasiment 13 saisons, suivis des emblématiques Mehdi Cerbah (un bout de gardien d’à peine 1m75 qui s’imposait dans sa surface et écœurait les attaquants adverses par son agilité féline, les allemands de 82 peuvent en témoigner), Rabah Manguelleti, Rachid Baris, Salah Larbès, Kamel Aouis etc. Le talentueux Rachid Dali et l’élégant Mokrane Bailèche arrivent un peu plus tard au milieu des années 70.

        Le point commun des joueurs de cette fabuleuse génération qui c’est qu’ils étaient quasiment tous kabyles (soit nés en Kabylie ou de parents d’origines kabyles installés dans les grandes villes, notamment Alger), à l’exemple des joueurs de l’Altlétic Bilbao qui venaient exclusivement du pays basque, d’où leur profond attachement aux couleurs du club (la plupart ont passé toute leur carrière professionnelle au sein du club).

        0
        0
      2. Tiens Agawa, tu peux nous parler de Stefan Żywotko ? Comment un Polonais s’est retrouvé à diriger la JSK dans ses plus belles années ? J’adore ces itinéraires… Je sais que les échanges étaient fréquents avec les pays de l’Europe de l’Est à l’époque.

        0
        0
      3. Les Polonais en Afrique, c’est peut-être le pan le plus méconnu de la présence européenne par là..alors qu’on y trouva de tout et partout tout le XXème siècle durant : explorateurs, journalistes-phares, réfugiés par dizaines de milliers, techniciens-coopérants-camarades.. Insoupçonnable, et pourtant.

        0
        0
  3. En Kabylie, on évoque le souvenir du regretté Stefan Żywotko avec la plus grande émotion, l’empreinte qu’il a laissée au sein du club est indélébile à la fois sur le plan sportif et surtout sur le plan humain.

    Le plus kabyle des polonais est arrivé au club dans un contexte particulièrement tendu, entre une instabilité chronique qui broyait les entraineurs les uns après les autres (15 entraineurs en moins de 10 ans, soit un mandat moyen de 6 mois par entraineur) durant cette période où le club alternait le bon et le moins bon (la relégation a été évitée in extrémis à une ou deux reprises alors que le club était champion en titre) et des pressions politiques incessantes obligeant le club à changer de nom à 2 ou 3 reprises. Parmi le bal interminable des entraineurs successifs, en plus du pompier de service nommé Abderrahmane Boubekeur qui est revenu à 4 ou 5 reprises pour assurer l’intérim, il y avait une pléiade d’entraineurs venus d’Europe de l’Est (trois roumains, un yougoslave et un hongrois) du fait des affinités géopolitiques et idéologiques qu’entretenait le régime socialiste qui dirigeait le pays d’une main de fer.

    Comment s’est-il retrouvé à diriger la JSK? On le doit au… hasard. Tandis que Stefan Żywotko menait une modeste carrière d’entraineur en Pologne et avait un palmarès quasi vierge (une accession de D3 à la D2), il avait reçu une offre intéressante pour diriger le prestigieux Panathinaïkos d’Athènes, mais le pouvoir communiste polonais lui avait refusé sèchement l’autorisation de quitter le territoire car la Grèce n’était pas assez communiste à ses yeux. En échange, on lui proposa d’entrainer un club algérien dans le cadre d’un échange de compétences entre pays communistes. Żywotko avait accepté cette alternative, la mort dans l’âme, sans savoir quelle serait sa destination. C’est tombé sur la JS Kabylie, on peut remercier la providence car le coup de foudre fut immédiat entre l’entraineur et son public. Les débuts furen d’abord approximatifs car une période d’adaptation était indispensable, fort heureusement le président Boussad Benkaci a eu l’intelligence de lui accorder une patience qui s’est avérée salutaire. Stefan Żywotko ne parlait ni français, ni arabe ni encore moins kabyle et venait aux premiers entrainements avec un dictionnaire français-polonais à la main jusqu’à ce qu’il apprenne les rudiments de la langue de Molière en quelques mois. Il a transformé le club de manière très significative en un temps record en inculquant les connaissances footballistiques propres au football européen (préparation physique rigoureuse, discipline tactique, hygiène de vie, préparation mentale, culture de la gagne) tout en exploitant les qualités techniques intrinsèques et la fougue des joueurs locaux et surtout en s’appuyant sur son acolyte de toujours, un certain Mehieddine Khalef (artisan en chef du mondial 82 de la sélection nationale). Les résultats ne se font pas attendre: le rouleau compresseur de la JSK broyait tout sur son passage durant les 14 saisons que dura cette magnifique idylle (07 championnats, 01 coupe d’Algérie, 02 Coupes africaines des clubs champions) en déployant un jeu offensif et spectaculaire qui a marqué les esprits.

    Hélas, rien n’est éternel. L’aventure prit brusquement fin un jour de décembre 1991 à cause des événements politiques de cette sombre période de l’histoire algérienne (le Front Islamiste du Salut, un parti islamiste radical et violent, avait remporté une écrasante majorité au premier tour des élections législatives. Le pouvoir ayant décidé d’arrêter le processus électoral pour bloquer la route au FIS, le pays plongea alors dans une terrible guerre civile qui dura 10 ans. résultat: 200 000 morts, 30 000 disparus, et un pays en ruines). Stefan Żywotko s’était senti menacé pour la toute première fois dans ce pays et cette région où il était tant aimé, le jour où un islamiste radical l’a foudroyait d’un regard menaçant dans un lieu public, lui signifiant clairement qu’il n’était plus le bienvenu. Il a aussitôt quitté le pays, la mort dans l’âme, laissant derrière lui un souvenir intarissable et une profonde affection chez des millions de kabyles qui le considéraient un des leurs.

    1
    0
    1. Hello Agawa, merci pour ces précisions.
      Je prépare un papier sur l’Algérie 1982 (il paraîtra en juin), un peu une suite de celui sur Boumediène et le Mouloudia l’an passé. Je n’ai pas trouvé de raison rationnelle au fait que Rogov ait été écarté avant la CM 1982. Après coup, tant mieux pour l’Algérie et Mahieddine Khalef mais il semble que le départ obligé du Soviétique ait été très mal compris à l’époque. Tu peux me le confirmer ?

      1
      0
      1. Salut Verano, c’est super d’apprendre que tu prépares un papier sur 82, c’est un sujet plus qu’intéressant.

        Concernant le départ surprise de Rogov à la veille d’une échéance aussi importante qu’un mondial, c’est une zone d’ombre parmi tant d’autres qui entourent le football algérien de cette époque. La raison la plus plausible serait un excès de zèle du pouvoir algérien qui ne voulait tout simplement pas que la sélection nationale soit dirigée par un entraîneur étranger et ce malgré l’excellence relation qu’il avait avec l’URSS, d’autant plus qu’il n’y avait rien à reprocher sur le plan sportif au technicien soviétique qui venait de qualifier l’Algérie pour la première fois de son histoire en coupe du monde. Le mondial était une vitrine pour le pouvoir algérien pour exposer les fruits de ses réformes aux yeux du monde entier, opportuniste qu’il était. Je crois qu’un arrangement à l’amiable avait été trouvé entre le technicien soviétique et la fédération algérienne qui ne pouvait pas dire non au régime totalitaire qui avait la main mise sur tous les secteurs, d’ailleurs Robov est revenu des années plus tard comme si de rien n’était.

        Football et politique faisaient bon ménage à cette époque (à vrai dire, ça n’a jamais cessé), Robov a été remplacé par Mahieddine Khalef et Rachid Makhloufi. Ce dernier était là beaucoup plus à cause de son aura et pour apporter son immense expérience, Khalef était le véritable maître à bord alors qu’il n’avait même pas ses diplômes d’entraîneur et ses compétences techniques et tactiques étaient bien limités. Certes, il avait des qualités indéniables (charisme, discipline de fer), mais il était surtout le cousin de l’homme fort du régime algérien et l’un des personnages les plus craints du pays, un certain Kacedi Merbah (Chef de la redoutable Sécurité Militaire, services secrets algeriens).

        Les polémiques autour de cette époque n’en finissent plus, dernièrement le très sérieux et populaire Salah Assad (connu pour sa franchise) avait annoncé sur une chaîne de télé que la sélection algérienne avait perdu la finale de la CAN 80 face au Nigéria pour des raisons extrasportives. D’après ses dires, le président algérien Chadli Bendjedid avait promis à son homologue nigérian de laisser le trophée aux Super Eagles afin d’éviter des troubles politiques et sociaux dans le pays qui était déjà en grande difficulté, une instruction venant donc « d’en haut » est parvenue au vestiaire juste avant le coup d’envoi de la finale (perdue sèchement 0 à 3) pour que les joueurs algériens lèvent le pied. Incroyable !!!

        1
        0
      2. Merci Agawa.
        À propos du Nigeria, les Verts prennent leur revanche à Lagos lors des qualifs à la CM. Environ 110 mille spectateurs (de graves incidents après le match), des intimidations tout au long du séjour…un exploit de gagner au Nigeria face aux Green Eagles d’Otto Gloria.

        0
        0
  4. Pour la première photo, je mets une pièce sur Fenerbahçe-Nice au deuxième tour retour de C3 1973-74, le 7 novembre 1973. Pas de pub = Coupe d’Europe. Pas de rayures = match télévisé contre un adversaire à rayures, donc maillot uni pour éviter la confusion en noir et blanc. Ni OGCN-Barça au premier tour (les Niçois jouaient en blanc), ni OGCN-Cologne au troisième (pas besoin de changer de maillot). Changement de maillot pour l’OGCN = match à l’extérieur, faute de quoi c’est le Fener qui aurait changé. Baratelli – Ascery, Chorda, Isnard, Grava – Adams, Huck, Jouve – van Dijk, Eriksson, Loubet. Battu 2-0, l’OGCN se qualifie grâce au 4-0 de l’aller au stade du Ray.

    0
    0
    1. Très bel exercice mais j’ai retrouvé la photo (donc je ne dis rien) et tu ne dois pas être sur le bon match, pas de Van Dijk dessus, ni Chorda, ni Isnard, ni Loubet, ni Eriksson ne sont sur la photo. (Le match est la saison suivante).

      0
      0
  5. Merde j’ai oublié qu’il fallait défendre mon leadership aujourd’hui!
    Bon vu l’indice de Gooze c’est la JSK mais je ne connais aucun joueur (même Khia c’est pour dire la difficulté!)
    L’autre je crois que tout a été donné, c’est bien Nice. Ce qui n’est pas très sympa ce soir mon cher Gooze 🙂
    Je vais remettre Coupet premier et Ruffier deuxième!

    0
    0
  6. @agawa
    Que l on donne une tribune à Agawa!
    Eheh j t en prie cher ami.
    Pour un cadeau empoisonné tu t en sors bien, enfin on verra ça la semaine prochaine quand même eheh.
    Merci pour ces commentaires en tout cas!

    @ruicosta
    Et là pinte d Or est décernée au siège social de P2F à Paris dans un certain bar.
    Tu auras l adresse en temps voulus.

    0
    0

Laisser un commentaire