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Je ne sais pas si les Français mesurent leur chance. Surtout les contribuables. Alien Crystal Palace + Jour et la Nuit, c’est le diptyque nanard ultime. La prestation de Leaud est gênante. Celle de Ker hallucinée. À voir pour les plans nichons.
Est-ce que certains ici ont vu « Slava Ukraïni », le dernier film réalisé par notre talent envié par la terre entière, BHL ?
Non, mais je me suis procuré le dernier film de son égérie Alien(e) Crystal Palace (pas le club de foot heureusement). Asia Argento et Léaud avaient semble t-il des impôts à payer. Palme de la pire articulation de tous les temps à feu Nicolas Ker. Le film de genre français dans toute sa splendeur. Reste à voir l’adaptation pour la télévision des Trois mousquetaires avec la même Arielle Dombasle, Milady (2004) pour me préparer au nouveau qui ne pourra être qu’un chef d’œuvre. Au pire, je revois celui avec Emmanuelle Béart en Milady, D’Artagnan et les trois Mousquetaires.
Combien de chefs d’œuvre doit-on à cet illustre inconnu nommé Impôtàpayer ?
Au diable les Kubrick, Visconti et autres tâcherons de la pelicula, parlons vrai cinéma.
« Some kind of wonderful » (La vie à l’envers, 1987) signé Howard Deutsch sur un scénario de John Hugues est une véritable masterclass capillaire.
Keith (Eric Stoltz), petit gars issu des classes laborieuses aux inclinations artistiques, a pour amie Watts (Mary Stuart Masterson), batteuse à bandana et garçon manqué. Il tombe sous le charme d’Amanda (Lea Thompson), l’une des filles les plus populaires du lycée, mais qui fréquente un wannabe yuppie. Parviendra t-il à trouver l’amour? Je n’en dirais pas davantage sur l’intrigue.
Un grand teen movie. Eric Stoltz, magistralement imperturbable, prouve que son non-jeu tout en subtilité vaut bien mieux que le cabotinage de Michael J. Fox dans « Retour vers le futur ». Un film à voir et revoir, ne serait-ce que pour l’une des meilleures scènes de vestiaire de toute l’histoire du cinéma, et qui mérite de tourner en boucle dans tout club lesbien qui se respecte.
<p style= »margin: 0 0 var(–marge-petite); font-size: var(–taille-texte-moyen-grand); font-variation-settings: ‘wght’ var(–font-weight-medium); color: #000000; font-family: bitter-textes, ui-serif, serif; font-variant-ligatures: common-ligatures; »>The Magnetic Fields – With whom to dance?</p>
<p style= »margin: 0 0 var(–marge-petite); font-size: var(–taille-texte-moyen-grand); font-variation-settings: ‘wght’ var(–font-weight-medium); color: #000000; font-family: bitter-textes, ui-serif, serif; font-variant-ligatures: common-ligatures; »></p>Vite fait, ai vu récemment : Cet obscur objet du désir de Luis Buñuel (1977). C’est peut-être son chef-d’oeuvre, bien que j’avais adoré, adoré, adoré Le fantôme de la liberté. C’est surréaliste, sadomasochiste, sexy (Angela Molina, madre de dios… !!), y a même un fond de critique sociale. Du tout, tout bon. Vraiment ! Ai vu aussi Le grand couteau de Bob Aldrich (1955). Ai détesté. Chiantissime. Presque deux heures de théâtre filmé, le tout manquant sérieusement de nerf. Déçu, je fus. Enfin, faudra que je prenne un peu de temps pour vous parler de 1917, parce que je vais (un peu) le découper…
Pieral, madre de dios!
On a le droit de moquer RWF ici ?
Vas-y, que je rigole !
J’ai simplement posé une question. Je n’ai pas dit que j’avais l’intention de le faire.
Paraît qu’il s’est fait recalé à l’entrée d’une écolde de ciné. Quelqu’un connaît la raison?
Bref, courrez plutôt dans votre vidéo-club (quoi ? ça existe plus ?) pour voir Angst essen Seele auf (Tous les autres s’appellent Ali) de RWF. Ça c’est du mélo audacieux sur l’amour intergénérationnel et interethnique. Et c’est pas avec des mannequins anglais dans un cadre romantique. C’est avec des gens normaux dans un cadre sordide (ce Bar Asphalt, à chacune de mes visites à München je le cherche…).
Ahahaha
Grrr, y a un bug ou quoi? Bon, je recommence.
Alors, pour la 1ère photo avec Wall et Meisl, il faudra que tu jettes un oeil pour te faire ta propre idée, mais je pense à:
-au centre: Adolf Vogl
-entre Wall et le présumé Vogl, Anton Schall
-entre Meisl et Sindelar, le petit à casquette, je penche pour Karl Sesta. À cause de la bouche et du regard.
PS: autre indice, Schall et Sesta n’étaient pas grands.
Très supérieur aux Romero, le « Lac des morts-vivants » de Jean Rol… J.A Laser, pardon. Foncez.
Et encore plus mieux que le « Lac des morts-vivants », « Virus cannibale » de Bruno Mat… euh, Vincent Dawn. De la balle.
Raaaaaaaaa, la VHS au fond du carton. Le meilleur film de Sci-Fi produit par Disney.
The Black Hole, 1979.
Black Racer.
Qui, comme son nom ne l’indique pas, est en fait un skieur.
Un schieur.
Je ne connais pas Ant-man. Késako ?
Il s’agit d’un « super »-héros, qui sur l’échelle du minable se situe juste un cran au-dessus du Black Racer.
Depuis hier, je ne peux plus poster en répondant à un commentaire en le citant. J’ai perdu un message de la plus haute importance comme ça, destiné à Paul Österr. C’est peut-être ça.
Ce n’est pas seulement depuis hier. Ça arrive lorsqu’on répond à un message qui cite un autre message qui cite un autre message…
Pas de multivers foireux ici.
Et le méchant est, comme il se doit, Autrichien.
À ton avis, qui conduisait la déneigeuse de Hawkeye?
Toutes les merdes Marvel et DC, c’est plus possible. Y a overdose. Ant-Man, bon sang. Ant-Man !? Douglas et Pfeiffer dans ce truc, quelle angoisse.
Dieu merci, ils font tellement n’importe quoi, qu’ils vont même finir par lasser les fans hardcore.
Nous voila rassurer, Palmade a déjà un remplaçant.
« Rassuré » ? Un fan de Palmade peut-il être pris au sérieux lorsqu’il s’agit de parler cinéma ?
Pas facile d’écrire en ayant un fou rire.
Je recommande X Men. Un rassemblement de super héros.
Ahaha
Bizarre, nous n’avons plus de nouvelles de Jeremy Renner ! Et Spacey retournera-t-il un jour ?
Le Renner est en kit. Faut une notice Ikea pour le remonter.
N’écoute pas les conseils cinématographiques du cousin lyonnais de George Santos . Les Marvel, c’est surtout de la merde.
