Les grands duels : AS Saint-Étienne – PSV Eindhoven (première partie)

Ils ont fait la légende des compétitions internationales. Ils ont déchaîné les passions et déchiré les familles. Ils ont rythmé les règnes et ponctué les changements d’époque. Chaque mois, P2F évoque pour vous l’un des grands duels à répétition de l’histoire du football. Aujourd’hui, retour sur la première partie d’un temps fort de la légende des Verts : la triple confrontation entre l’AS Saint-Étienne et le PSV Eindhoven.

Genèse d’un duel

Lorsque le tirage des demi-finales de la Coupe des clubs champions européens 1975-1976 fait sortir le PSV Eindhoven du chapeau face à leurs Verts, Robert Herbin et Roger Rocher poussent un soupir de soulagement : ils ont évité le Bayern et le Real. Bien que le champion des Pays-Bas inspire le respect après les succès de l’Ajax, il n’a pas le vécu européen des Lanciers ou de Feyenoord. Même avec l’aller à Geoffroy-Guichard, le coup est jouable.

Avec deux demies de C1 en deux ans, Robert Herbin est tout près de voir ses idées triompher. Quand il a succédé à Albert Batteux sur le banc des Verts en 1972, l’ASSE était le patron  incontesté du football français (six titres en 10 ans, un septième en gestation) mais ne passait jamais l’hiver en Coupe d’Europe. À 33 ans seulement, cet ancien défenseur central et milieu box-to-box de grande classe a balayé les certitudes un peu confites du maître, architecte du grand Reims et des Bleus de 1958 qui sont alors les références hexagonales. En phase avec son époque, il dit vouloir « construire le jeu comme l’Ajax et défendre comme les Italiens. » Un régime d’entraînement impitoyable, inconnu jusque-là en France, est donc venu poser les bases physiques nécessaires. Deux étrangers de classe mondiale, le gardien Ivan Ćurković et le stoppeur Oswaldo Piazza, ont fait de la défense des Verts une forteresse. Le numéro 10 roi-soleil a cédé la place à une animation offensive où le danger peut venir de partout. Un savant mélange de cadres de l’ère Batteux et de jeunes du centre de formation est devenu un bloc indestructible à la cohésion sans faille, renforcé par l’explosion de Dominique Rocheteau à l’été 1975. Tout au plus peut-on reprocher à cette superbe équipe l’absence d’un vrai finisseur.

Demi-finaliste de la C2 en 1972, le Philips Sport Vereiniging est parti de moins loin. Kees Rijvers, arrivé sur le banc cette année-là, est loin d’être un inconnu à Saint-Étienne : il a été champion de France 1957 sous le maillot vert et a même joué aux côtés de Robert Herbin de 1960 à 1962. À la faveur du regain d’intérêt de Philips pour le football après un changement de direction en 1971, il a lui aussi construit une belle équipe qui est venue briser le duopole Ajax-Feyenoord. Championne la saison précédente pour la première fois en 12 ans, celle-ci brigue à présent un deuxième titre consécutif qu’elle remportera d’ailleurs. On y retrouve de nombreux canons du football total, dans un 4-3-3 plus proche de celui des Rotterdamois que des Lanciers. Là où Cruyff est à la fois meneur de jeu et attaquant, le PSV partage les tâches entre deux joueurs de classe mondiale : le stratège Willy van der Kuylen, que seules les basses intrigues du clan Cruyff priveront de la gloire avec les Oranje, et l’avant-centre suédois Ralf Edström, un redoutable buteur qui s’est mis en évidence à la Coupe du monde 1974. Jan van Beveren dans la cage, les jumeaux Willy et René van de Kerkhof au milieu et devant, et une escouade de très solides pros complètent un effectif sans point faible, capable de tutoyer les meilleurs.

Ça va faire mal.

Printemps 1976 : la grande bataille

Le 31 mars 1976, le Chaudron est chauffé à blanc pour le match aller. Les Verts sont encore frais de leur triomphe sur le Dynamo Kiev en quarts (0-2, 3-0 a.p.) après avoir écarté KB Copenhague (2-0, 3-1) et les Glasgow Rangers (2-0, 2-1) auparavant. Le PSV aussi a gagné sa remontada contre Hajduk Split en quarts (0-2, 3-0) après avoir proprement atomisé les Nord-Irlandais de Linfield (2-1, 8-0) puis les Polonais de Ruch Chorzów (5-0, 2-2). L’on s’attend à un match d’hommes, et l’on ne sera pas déçu. D’entrée, le défenseur central Adrie van Kraay porte un tacle de boucher à Jean-Michel Larqué, histoire de mettre les choses au clair, et peut s’estimer heureux de s’en tirer avec un jaune. La vengeance va venir 10 minutes plus tard, sur un coup franc à 20 mètres face au but. Jean-Mimi n’est pas “Oui Michel” et préfère les frappes en force, comme il l’a prouvé face à Kiev. Celle-ci aussi est parfaite, lourde à ras de terre sur la droite du mur, et s’engouffre au pied du poteau malgré l’horizontale désespérée de van Beveren.

La suite du match est au diapason : intense, virile à la limite de la correction, nettement dominée par les Verts, mais sans beaucoup d’occasions. Van Beveren fait le job sur un nouveau coup franc de Larqué et sort deux parades décisives, une sur un tir dévié de Bathenay et l’autre sur une mine de Patrick Revelli au coin des six mètres. Rocheteau et surtout Larqué manquent de peu le cadre en bonne position. En face, pas beaucoup de travail pour Ćurković : un tir mou, une tête dans les mains, un ballon qui traîne devant la cage, et c’est tout. Quand l’arbitre siffle la fin du match, l’un des joueurs néerlandais serre le poing à la manière d’un Nadal tirant un coup droit gagnant. À 1-0, le PSV est content d’avoir limité la casse. Les Verts, de leur côté, sont heureux de ne pas avoir concédé de but mais savent qu’à Eindhoven, 15 jours plus tard, il ne sera pas facile de tenir.

Le Philips Stadion fait bien 15 000 places de moins que Geoffroy-Guichard, mais on n’en a pas l’impression le 14 avril vu l’ambiance qu’y mettent les supporters du PSV. Sur le terrain aussi, c’est très chaud d’entrée de jeu. Dès la 3e minute, Edström place une belle tête sur corner que Ćurković repousse d’un joli réflexe. Une minute plus tard, van der Kuylen frappe des seize mètres au ras du poteau. À la 6e minute, le gardien stéphanois se troue sur un centre et Farison sauve la baraque en catastrophe. À peine le temps de souffler un peu qu’Edström devance de la tête un Curko encore mal sorti et manque le cadre d’un millipoil.

L’orage est passé et le reste de la première période sera plutôt Vert. Van Beveren doit sortir le grand jeu devant Rocheteau et deux fois devant Patrick Revelli, en particulier sur une mine partie vers la lucarne. Ćurković se distingue lui aussi en claquant en corner une tête d’Edström et en gagnant un duel décisif au coin des six mètres face à René van de Kerkhof. Après le repos, surprise : Edström, touché (involontairement) au visage par les poings du gardien stéphanois dans un duel aérien à la 15e minute, ne ressort pas du vestiaire et cède sa place au Gallois Nick Deacy.

« Ils ne passeront pas. »

Cela n’aide pas le PSV à inverser le cours d’un match où les Stéphanois semblent avoir pris l’ascendant. À la 47e minute, Rocheteau, excentré à dix mètres, est en bonne position mais croise trop son tir. Trois minutes plus tard, Hervé Revelli déborde sur l’aile droite, centre fort à ras de terre aux six mètres, l’Ange Vert surgit et marque en force. Hors-jeu, de quelques centimètres… Saint-Étienne a manqué l’occasion de tuer le match et le PSV revient dans la partie. Ćurković, impérial au sol à défaut de l’être dans les airs, gagne un nouvel un contre un face à van der Kuylen (63e). Patrick Revelli réplique avec une nouvelle mine des 16 mètres que van Beveren détourne joliment (75e), puis les Verts quittent pour de bon le camp adverse sous la pression de plus en plus intense des Néerlandais. Le dernier quart d’heure est terrible, mais les hommes d’Herbin ont les jambes et les muscles pour tenir sans rompre. Un cafouillage devant le but stéphanois, une tête de René van de Kerkhof droit sur Ćurković, un très bel arrêt de celui-ci devant van der Kuylen à bout portant qui rachète une nouvelle toile sur un corner quelques secondes auparavant, deux dernières minutes à balancer n’importe comment… et c’est fini. Dix-sept ans après le grand Reims, une équipe française retrouve enfin une finale de Coupe d’Europe.

Un mois plus tard, à Glasgow, il y aura ces poteaux carrés et ce coup franc de Franz Roth entrés droit dans la légende de l’ASSE… Mais derrière la défaite sur le terrain, il y aura eu une victoire dans les têtes. Après quinze ans d’une interminable traversée du désert pour le ballon rond national, les Verts ont ramené l’espoir. Comme le résume joliment Jean-Philippe Réthacker (1), « ils ont surtout montré aux autres footballeurs français qu’à force de travail, d’application, de volonté, de sérieux et de confiance, il y avait une place à prendre ou à reconquérir dans le Gotha international. » Les Bleus de Michel Hidalgo sauront continuer sur ce chemin qui les mènera, huit ans plus tard, au premier titre majeur d’une équipe de France, tous sports collectifs confondus. L’AS Saint-Étienne, elle, ignore qu’elle n’en a pas encore fini avec ce PSV qui ne s’est incliné que de justesse au terme d’un double duel sans merci et prépare déjà la prochaine bataille.

(Deuxième partie disponible ici à partir du 17 janvier.)

(1) Jean-Philippe Réthacker et Jacques Thibert, La fabuleuse histoire du football, éditions de La Martinière.

29 réflexions sur « Les grands duels : AS Saint-Étienne – PSV Eindhoven (première partie) »

  1. Ah, une série qui, si mes souvenirs de lecture concernant le PSV sont fidèles, ne ferait pas plaisir aux Nord-Brabançons! (ça les a marqués, je n’en dis pas plus)

    Van Kraay, vu en Belgique, il était de l’équipe qui élimina le PSG en C2 82. Et ce n’était pas un poète 🙂

    Je n’avais jamais réalisé que Deacy était déjà là ; du coup, ça m’intrigue qu’il soit resté si longtemps au PSV. Autre héros de leurs affrontements avec Barcelone, qui je pense était aussi de ces matchs face à Saint-Etienne : le très bon (mais peu glamour) Poortvliet.

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      1. L’un des derniers joueurs auxquels l’on pense probablement hors-NL, mais pour ma part je le placerais très haut dans l’Histoire de leur football. Hélas pour lui et comme tu dis, il a souffert d’un mauvais timing (l’une de ses plus grandes qualités individuelles pourtant).

        Dans l’absolu sinon, il était très bon où qu’il jouât : med def, back gauche, technique solide, relayeur, dans l’infiltration, au marquage……. ==> C’est d’ailleurs le joueur qu’on assignait systématiquement au marquage de la star adverse, qu’il parvenait presque toujours à éteindre sans réelle difficulté, demandez à Cruyff, Boniek, qui sais-je encore……et à côté de ça il parvenait encore à marquer avec une facilité certaine, bref : hyper-fiable et complet, super joueur.

        En Belgique je me rappelle de lui à l’Antwerp : de très beaux restes…….et ils eussent raisonnablement dû être champions sans la blessure de leur meneur de jeu NL van Rooij (lequel était aussi génial que dilettante – quel gâchis..) , y avait mon chouchou ouest-allemand Lehnoff notamment, j’adorais cet Anwerp-là!

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  2. Ces Verts étaient avant tout un collectif, comme Triple G le mentionne, sans grande star (Platini arrive à la fin de l’histoire, en 1980). D’ailleurs, l’EDF de Hidalgo n’est pas dépendante des Verts et seuls Janvion, Lopez et Rocheteau ne s’y installent durablement (Bathenay à un degré moindre).

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    1. Bathenay s’est fait déloger par Didier Christophe et Jean-François Larios, plus grands, plus rapides, plus puissants. Il est passé libero au PSG, mais il y avait Trésor et Lopez devant lui. Il avait fait tout un pataquès dans les médias de ne pas avoir eu sa chance avant la CM 1992. Hidalgo la lui avait donnée pour voir, en amical contre le Pérou au Parc (0-1), et ça n’avait pas été fameux. On ne l’a pas revu en équipe de France après. À signaler que c’était lui le tireur attitré de penalties à une époque où les Bleus n’en bénéficiaient pas beaucoup : un contre la RDA en 1975 à Leipzig, un contre la Grèce en amical au Parc en 1980, et c’est tout pendant les années Bathenay.

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    1. A Liège, on dirait que tu cherches la misère, lol.. : ils sont tellement proches (affectivement parlant) que ta question est assurément tabou pour eux!

      De ce que j’ai vu : René était le plus doué.

      Mais déjà lu que Willy était plus fiable.

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      1. D’où l’intérêt de ma question! Hehe Les exemples de jumeaux inséparables sont assez nombreux dans le sport mais si on se tient à juger des prouesses quasi identiques, comme dans le cas de Rene et Willy, je pencherais sur les jumeaux Sedin au hockey. Immenses joueurs suédois qui allèrent jusqu’à se faire sélectionner en 2 et 3 à la Draft NHL 99! Et évidemment pour la même équipe de Vancouver Canucks où ils jouèrent toute leur carrière en NHL. Ils arrêtent en même temps en 2018 et ont quasiment joué en intégralité sur la même ligne ce qui donne comme stats, 1070 points pour Henrik et 1041 pour Daniel!

        Très très grosse carrière commune puisqu’ils gagnent les J.O 2004, avec l’ensemble du gratin NHL, et amènent Vancouver à leur dernière finale de Stanley Cup. Ils entrent au HOF la même année évidemment, en 2022.
        La petite différence est que Daniel était plus buteur qu’Henrik.

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    1. Je vous ai dit avoir fini de lire sa bio? Ses années passées a la tête du PSV m’en laissaient déjà une impression favorable, mec (notoirement) correct sur tout…..mais désormais je donnerais cher pour pouvoir l’interviewer, c’est qu’il est quasi-centenaire le bougre..

      Ça cause plus haut de l’ange vert, hum : n’a-t-on dans le coin un auteur qui l’interviewa? Et qui ma foi vit non loin de l’île française de Rijvers.. 😉

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      1. Si c’est le cas, ça veut dire qu’il pourrait presque aller voir Lionel Jospin et Jacques Toubon, qui vivent sur l’Île de Ré !

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  3. Le PSV a également une remontée fantastique face à l’Hajduk? Il me semble que les Croates avaient bien chambré Curkovic à l’aller et ce dernier ne s’était pas privé de le raconter à ses partenaires pour les motiver.

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    1. Il était rincé, tu peux l’écrire 🙂 Je dirais de tête que sa meilleure période est 1974-76. Une compilation de la Suède au WM 74 ou du PSV de ces années-là montre de quoi il était capable. Cette volée contre la RFA au second tour, mamma mia…

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    1. Petit..mais à la pointe de la technologie et de l’innovation : Ajax s’en remettait à eux (Philips) pour son éclairage stadial, premières tribunes chauffées aussi (mon vieux les testa début 70’s : elles étaient donc déjà là…. ==> Le Sainté qui hante ces lieux n’a pas dû avoir froid aux fesses s’il fut de ce déplacement-là??).

      Bref : petit, certes..mais stade pensé comme une vitrine du groupe industriel.

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  4. ha bien bien ce match là est le plus connu des 3 confrontations évidement (le 6.0 n’a pas le même impact forcément) comme le dit Verano c’est pas du grand foot c’est physique rugueux à l’image des 2 équipes et surtout de L’ASSE de cette année là! (@Verano Platini arrive en 79 et reste 3 ans^^)

    évidemment jamais vu en direct j’ai même pas 1 an et mes parents ne m’en ont jamais parlé le sport et le foot pas trop leur truc et on était dans le cantal mais….
    j’en ai déjà parlé mes oncles qui habitaient eux aussi dans le cantal étaient des supporters depuis le milieu des 60’s et faisaient la route tous les 15 jours ( pas dans le même état qu’aujourd’hui ni les mêmes caisses^^) parfois en caisse parfois en bus (sacrées aventures ).

    Durant les 70’s ils ont même fais des déplacements en Europe (l’un d’eux y prendra goût jusqu’à aller voir les JO à Sarajevo en 84) si je dis pas de bêtise le plus jeune de mes oncles sera en Hollande en 76 et l’autre à Glasgow (mais heureusement pas à Paris le lendemain quelle horreur ce truc merci à ce merdeux de Vandroux)
    juste pour info ils ont du arrêter d’aller à GG en 90 ou 91
    1985 à l’époque on est au fond du trou mais je ne le sait pas moi ce sont les Girondins qui vont en 1/2 de coupe des champions (la vraie l’unique) face a la juve je saoule mes oncles avec les exploits de la bande a Jacquet alors le 23/08/85 a 1 semaine de mes 10 ils m’amènent en kop nord contre Le Puy (oui oui en D2 ^^)et le virus me pique!
    mes oncles m’amène qq fois à GG jusqu’en 91 et je prends la suite je pourrais dire que j’aurais vu jouer Lubo le plus grand de tous!!
    si jamais vous passez par la ville vous pouvez visiter le musée (essayer de rentrer en contact a

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    1. Bon, Saint-Etienne et son musée, la Loire, pourquoi pas.. Mais, me concernant : plutôt Le Puy en fait, de loin ça a l’air joli.

      Mais surtout : c’est le Cantal que j’aimerais visiter, moi! Un barman originaire du Cantal, trèc chic type qui bosse dans l’un des hôtels les plus huppés de Bruxelles, me disait qu’il n’y avait rien à voir ni à faire là-bas…. ==> Je n’arrive pas à le croire.

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    2. Ah oui, j’avais en tête deux saisons seulement, mea culpa !

      @bota, le Cantal, c’est magnifique pour se balader, randonner et manger !
      Les villages sont parfois austères, le mélange de pierre ocre et de toits d’ardoise ne restitue pas beaucoup de lumière les jours de grisaille. Mais ça a son charme !

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    3. Pas du grand foot, mais du très bon tout de même, surtout le retour. Le duo René van de Kerkhof – Edström se laisse voir. C’est un monde au-dessus du deuxième duel de l’automne 1976 dont nous parlerons en deuxième partie. En tout cas, je ne me souvenais pas que Curkovic avait été aussi foireux dans les airs au retour. Deux trous complets sur corner et une sortie en retard sur laquelle Edström aurait normalement dû marquer, ça fait vraiment beaucoup. Heureusement qu’il avait été impeccable au sol.

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  5. mince fausse manip^^
    je disais donc d’essayer de rentrer en contacte avec Philippe Gastal la mémoire du club un truc de dingue pour la visite mais fermez les yeux devant le pathétique des poteaux carrés présent dans le musée!
    la création des groupes sera pas une mauvaise chose pour solder quelque peu cette époque trop lourde pour les épaules de nos dirigeants actuels…bon on a bien eu une belle période avec Galtier et la coupe d’europe nous manque c’était bien les dep’ et de passer quelques jours dans les villes
    en tous cas en Avril on travail pour les tifos des 90 ans du club
    désolé pas beaucoup parlé de l’article^^

    petite remarque Larqué avait une belle frappe sur coup franc ou des tirs lointains et plutôt précis, je crois qu’il a aidé à un moment Yachvilli pour mieux buter au rugby!

    une époque ou les gros requins des coupes d’europe y’avait G’ladbach Kiev Sainté le Bayern

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