A l’hiver 1824, un événement fondateur de l’histoire du football a lieu à Édimbourg, en Écosse. John Hope, un étudiant de 17 ans, fonde un club nommé simplement The Foot-Ball Club, considéré comme le premier club de football au monde. A défaut d’adversaires extérieurs (puisqu’aucun autre club n’existait encore), les membres de ce club inaugurent la pratique en se scindant eux-mêmes en deux équipes. Et disputent ainsi ce qui est souvent présenté comme le premier match de football de l’histoire. Le 11 décembre 1824.
Le club compte dès le départ environ 60 membres. Principalement de jeunes hommes issus de la bourgeoisie éclairée d’Édimbourg. Il s’agit d’un mélange hétéroclite de juristes, de médecins et de comptables du quartier huppé de New Town ainsi que d’étudiants en droit comme Hope lui-même.
John Hope a fondé ce club dans un esprit en partie philanthropique. Il souhaite lever des fonds pour aider les ouvriers pauvres du quartier de Dalry. Le recrutement initial reflète toutefois la composition sociale privilégiée du club. Ce qui en fait un cercle élitiste sur le plan socio-économique. Au fil des années, The Foot-Ball Club connait un succès notable. Il attire au total près de 300 membres différents entre 1824 et 1841. Parmi eux figurent non seulement des étudiants, mais aussi des avocats, des médecins, des pasteurs et même des militaires.
Pour le match inaugural, chaque « équipe » est vraisemblablement formée en répartissant les membres disponibles. Les parties peuvent réunir un très grand nombre de joueurs sur le terrain. Une partie en 1825 se déroule avec 39 joueurs au total (soit sans doute 19 contre 20). La formation précise des deux camps ce jour de décembre 1824 n’est pas détaillée. Mais on sait que le club compte 61 inscrits lors de la première saison, un effectif pléthorique était disponible. En somme, ce « premier match » oppose bien le club contre lui-même. Chaque membre joue pour l’une des deux moitiés de l’effectif constituées pour l’occasion.
En 1824, le football n’est pas encore régi par des règles universelles. Le jeu pratiqué par The Foot-Ball Club d’Édimbourg s’apparente à une forme proto-sportive, héritée du « mob football » (football de foule) des siècles précédents. Tout en commençant à intégrer certaines règles de bienséance propres à un cercle organisé. Au début, très peu de règles encadrent ces parties. Tous les coups sont permis ou presque. Le jeu est rudimentaire et brutal (rough and ready). Il rassemble jusqu’à une quarantaine de joueurs sur le terrain. Il est admis de bousculer et de pousser ses adversaires. Et même de manipuler le ballon à la main par moments. En effet, le jeu tolère le « lifting of the ball », c’est-à-dire le fait de saisir ou soulever le ballon. Pratique aujourd’hui assimilée au rugby. Les contacts physiques sont rudes. Les coups de pied sur les tibias sont d’usage.
Malgré cette grande violence tolérée, une règle de fair-play notable est en place. Il est strictement défendu de faire un croc-en-jambe (tripping) à un adversaire. Ce bannissement des croche-pieds est significatif, car il s’agit d’une règle de sécurité qui a perduré dans les codes ultérieurs du football moderne. Mis à part le tripping, peu d’autres restrictions ont été imposées dans les premières années.
Au fil du temps, John Hope et ses compagnons codifient leur jeu. En 1833, soit neuf ans après la fondation du club, Hope rédige le premier règlement formel connu de l’histoire du football. Ce règlement est très succinct. Il ne comporte que six articles simples. Il pose quelques bases du jeu civilisé. On y retrouve notamment l’interdiction réitérée de faire trébucher un joueur. Mais aussi de nouvelles règles comme l’obligation de ne propulser le ballon qu’avec le pied. En effet, l’une des innovations majeures de ce code de 1833 est de proscrire la pratique courante consistant à saisir le ballon à la main (« ban on carrying the ball »). Seuls les coups de pied peuvent faire progresser la balle. Cette règle marque un pas important vers ce qui allait devenir le football association (soccer), se distinguant du style rugby.

D’autres éléments du règlement de 1833 montrent que le jeu du Foot-Ball Club se structure. Ainsi, Hope mentionne un comportement sportif codifié et l’existence d’un terrain délimité avec des poteaux de but. On assiste là aux prémices d’un terrain de jeu défini, rompant avec l’anarchie spatiale du mob football où l’aire n’avait pas de frontières fixes. John Hope continue de peaufiner les règles après la dissolution du club. En 1854, il publie un guide de bonnes pratiques du jeu. Et dans les années 1860 il encourage même la gent féminine à pratiquer le football dans un cadre organisé.
En résumé, les règles du match de 1824 sont très éloignées de celles du football moderne. Hormis l’interdit du croche-pied, presque tout est permis – contacts rugueux, jeu à la main ponctuel, nombre de joueurs illimité – Le ballon lui-même, une vessie de porc gonflée, devait souvent être remplacé en cours de partie tant il était fragile. Cependant, le club d’Édimbourg va peu à peu définir un cadre de jeu plus discipliné, anticipant de plusieurs décennies le grand mouvement victorien de codification du sport.
Le match de 1824 s’inscrit dans le contexte de l’Écosse du début du XIXᵉ siècle. Une période charnière sur les plans politique, urbain et éducatif.
Sur le plan politique, le Royaume-Uni est alors sous le règne du roi George IV. C’est l’ère géorgienne tardive, marquée par la fin des guerres napoléoniennes (1815) et le début de la révolution industrielle. La société britannique connaît des transformations socio-économiques importantes. Avec une montée en puissance de la bourgeoisie et des revendications démocratiques qui conduiront à la réforme électorale de 1832. En Écosse, les autorités locales avaient depuis longtemps un rapport ambivalent avec le football. Historiquement, les jeux de balle de foule étaient souvent interdits par souci d’ordre public. On craignait les émeutes, les dégâts ou la distraction des soldats. Cependant, au début du XIXᵉ siècle, le football commence à être toléré voire encouragé. Lorsqu’il est pratiqué dans un cadre encadré par l’élite. Comme ce fut le cas à Édimbourg en 1824.
Sur le plan urbain, la ville d’Édimbourg en 1824 est une cité en plein essor. La capitale écossaise sort tout juste de son Siècle des Lumières marqué par des figures comme David Hume et Adam Smith. Elle s’est dotée à la fin du XVIIIᵉ siècle d’une « Nouvelle Ville » (New Town) élégante et ordonnée, à côté de la Vieille Ville médiévale. Cette expansion urbaine témoigne de la prospérité et du dynamisme de la bourgeoisie édimbourgeoise. En novembre 1824, quelques semaines avant la création du Foot-Ball Club, la ville a traversé une épreuve notable. Le Grand Incendie d’Édimbourg. Il a détruit une partie de la Vieille Ville. Ce contexte urbain est celui d’une cité qui conjugue modernisation et traditions. Le choix du quartier de Dalry, alors en périphérie Sud-Ouest de la ville, pour organiser les premiers matches n’est pas anodin. Il s’agit d’un secteur semi-rural où le club peut louer un terrain dégagé, un pré appartenant à un domaine, sans gêner la vie urbaine et sans enfreindre d’éventuelles interdictions de jouer dans les rues ou sur les terrains publics du centre-ville. Ainsi, le Dalry Park a été utilisé pendant les sept premières saisons du club. Annuellement chaque été jusqu’en 1831 pour les rencontres. Par la suite, l’urbanisation croissante a peut-être poussé le club à migrer vers d’autres espaces verts en bordure de ville – Greenhill Park à Bruntsfield puis Grove Park près de Gardner’s Crescent – afin de continuer à pratiquer le football jusqu’en 1841.
Le contexte éducatif joue un rôle central dans la genèse de ce premier match. John Hope et nombre de ses camarades ont appris à jouer au foot-ball durant leur scolarité. En effet, dès le tournant du XIXᵉ siècle, les jeux de ballon commencent à être intégrés dans les traditions de certaines écoles britanniques prestigieuses. Vers 1800, la pratique du football, sous des formes variées, s’est diffusée parmi les élèves des public schools anglaises comme Eton, Rugby ou Harrow, ainsi qu’au High School d’Édimbourg, école publique de très haut niveau, aujourd’hui appelée Royal High School. John Hope lui-même est un ancien élève du Royal High School. C’est là qu’il s’est pris de passion pour le foot-ball. Et qu’il a noué des amitiés avec d’autres jeunes amateurs de ce jeu. En 1824, fraîchement inscrit en droit à l’Université d’Édimbourg, Hope décide de fonder un club pour continuer à pratiquer le jeu de son enfance avec ses pairs en dehors du cadre scolaire. Le Foot-Ball Club est donc en quelque sorte le prolongement des récréations du lycée, transposé dans la vie étudiante et jeune adulte. Il témoigne aussi d’une tendance de l’époque : l’organisation formelle d’activités physiques et sportives par l’élite éduquée.
Édimbourg est alors particulièrement en avance en matière de culture sportive organisée. La ville dispose déjà de plusieurs clubs sportifs pionniers bien avant 1824. Elle a vu naître le premier club de tir à l’arc au monde, la Royal Company of Archers, créée au début du XVIIIᵉ siècle. Un des tout premiers clubs de golf avec des règles écrites dès 1744 au Leith Links. Un club de gymnastique très tôt au XIXᵉ siècle. Les Écossais d’Édimbourg avaient également formalisé les règles d’autres loisirs bien avant beaucoup d’autres. Premières règles codifiées connues pour le golf, le bowling sur gazon et le curling. Attribution des premiers trophées sportifs dès le XVIIIᵉ siècle. C’est donc dans un milieu intellectuel et culturel propice – où sport rimait avec sociabilité et innovation – que le Foot-Ball Club a émergé.
Le match de décembre 1824 est donc le produit de son temps et de son lieu. Une époque où l’élite écossaise, éduquée et progressiste, expérimente l’organisation de loisirs sportifs modernes. Dans une ville foyer des Lumières et pionnière en de nombreux domaines. Cet ancrage historique a facilité la transformation du football d’un jeu de foule chaotique en une pratique encadrée, prélude à la codification victorienne à venir.

Socialement et culturellement, la naissance du Foot-Ball Club d’Édimbourg s’inscrit dans la continuité d’une évolution du profil des joueurs de football. Alors qu’aux siècles précédents le football de rue ou de campagne (mob football) était l’apanage des paysans, des artisans et des apprentis, le début du XIXᵉ siècle voit ce jeu investi par des classes plus aisées, notamment les étudiants et jeunes professionnels. Le match de 1824 en est l’illustration. Il ne s’agit plus d’une foule anonyme jouant sans règle dans la boue d’un village, mais d’un groupe de gentlemen éduqués qui se retrouvent régulièrement pour pratiquer un sport entre eux.
Il apparaît également que John Hope et ses collègues voyaient dans ce club un moyen de servir la communauté. Comme mentionné plus haut, Hope voulait utiliser le club pour collecter de l’argent au profit des classes laborieuses de Dalry. Cela s’inscrit dans une tradition de paternalisme social et de philanthropie propre au XIXᵉ siècle naissant. L’élite cultivée éprouve le besoin moral d’améliorer le sort des plus défavorisés. Bien que la pratique du football au sein du club ne concernait pas directement les ouvriers, les recettes des cotisations ou des événements liés au club pouvaient être redirigées vers des œuvres de charité locales. John Hope lui-même, plus tard dans sa vie, devint un important philanthrope à Édimbourg, finançant des cours du soir pour les jeunes travailleurs et lançant des mouvements de jeunesse d’abstinence contre l’alcoolisme.

La perception du sport en 1824 est bien différente d’aujourd’hui. Le football n’a pas encore le statut noble ou populaire qu’il acquerra plus tard. Pour la bonne société, le foot-ball passe pour une simple distraction juvénile, voire pour une activité quelque peu brutale indigne d’un gentleman, tant les traditions de mob football étaient violentes. Néanmoins, dans le contexte du club d’Édimbourg, la pratique du football a commencé à gagner en légitimité sociale. Le fait que des étudiants en droit et de futurs notables y jouent lui confère une certaine respectabilité, ou du moins une curiosité bienveillante. D’ailleurs, des spectateurs assistaient parfois aux matchs. Toutefois, le football de 1824 reste un loisir participatif et non un spectacle. Le but est de jouer, non de divertir un public payant. Les membres du club dépensent même des sommes notables pour pouvoir pratiquer. Location de terrain, achat de vessies de ballon. Ce qui réserve de facto ce sport à ceux qui en ont les moyens. En ce sens, le football est encore un sport de classe moyenne/aisée dans les années 1820-1840. Il faudra attendre la fin du XIXᵉ siècle pour qu’il se démocratise et devienne un divertissement de masse, notamment avec l’essor des compétitions publiques et du professionnalisme dans les années 1860-1880.
Culturellement, la création du Foot-Ball Club témoigne aussi d’un changement d’attitude vis-à-vis du corps et du temps libre. On est à l’aube de l’ère victorienne qui valorisera le « mens sana in corpore sano », l’idée qu’une éducation complète passe par l’exercice physique et l’esprit d’équipe. Les jeunes gens d’Édimbourg de 1824 préfigurent cette philosophie. Ils cherchent à occuper leurs samedis après-midi de manière saine, compétitive et collective. Cette culture du sport amateur, du fair-play et de l’entre-soi masculin est en germe dans ce premier club. Quelques décennies plus tard, certains fils de ces pionniers seront aux avant-postes dans l’organisation du sport moderne. Le père du premier capitaine du XV de rugby écossais et le père du premier capitaine de l’équipe d’Écosse de football lors du tout premier match international en 1872 étaient membres du Foot-Ball Club dans leur jeunesse. Cela illustre la transmission d’une culture sportive d’une génération à l’autre.
Le match de 1824 s’est donc déroulé dans un contexte social élitiste et éclairé, où le football commence à être perçu comme une activité formatrice et conviviale pour de jeunes gentilshommes. Tout en étant mis au service d’idéaux philanthropiques. C’est une étape de transition dans l’histoire culturelle du sport. Le football sort doucement de l’ombre des foires populaires pour entrer dans le monde organisé des clubs privés. Prélude à son expansion ultérieure dans toutes les couches de la société.
Du point de vue administratif et organisationnel, le Foot-Ball Club d’Édimbourg fonctionne de manière tout à fait informelle mais structurée. Un modèle embryonnaire de club sportif qui préfigure les associations sportives modernes. Il ne s’agit pas d’un club rattaché à une école ou à une institution officielle. C’est une initiative privée de John Hope et de ses amis. Aucune autorité sportive n’existe à l’époque. La Fédération écossaise de football ne sera fondée qu’en 1873, la FIFA en 1904, et le club ne dépend ni d’un établissement scolaire, ni d’une municipalité, ni d’un mécène particulier.
L’organisation interne du club repose sur des membres cotisants. Les listes d’abonnés (subscribers) pour chaque saison de jeu, avec le montant de leur contribution sont tenues à jour. Par exemple, pour la saison 1824-1825, le droit d’adhésion annuel était de 1 shilling. Une somme non négligeable mais abordable pour la classe moyenne de l’époque. Cet argent sert à couvrir les dépenses du club : location du terrain, achat et réparation des ballons, éventuellement fourniture de rafraîchissements ou d’équipements de base. Les registres comptables du club sont conservés. Ils nous apprennent par exemple que les dépenses pouvaient atteindre 6 shillings par match à certaines périodes. Ce montant inclut, entre autres, la rémunération d’un garçon chargé de gonfler la vessie de porc faisant office de ballon avant chaque rencontre. On retrouve là un des premiers exemples de dépenses logistiques pour l’organisation d’un match de football.
Le club ne possédait pas de terrain en propre. Il a donc dû trouver des arrangements pour disposer d’un espace de jeu. John Hope a négocié avec des propriétaires fonciers pour obtenir le droit d’utiliser temporairement des prés privés. En 1826, Hope a versé une somme pour l’usage du parc de Dalry afin d’y jouer au football et de pratiquer le tir à l’arc. Cela indique que l’utilisation était contractuelle, autorisée par le propriétaire contre paiement. Et que le même lieu pouvait servir à plusieurs activités sportives, ce qui optimisait l’investissement. Le club prenait également soin de maintenir le terrain praticable. Il payait l’agriculteur local pour qu’il tienne son bétail éloigné de la pâture entre les sessions de jeu, afin d’éviter qu’une vache ne vienne fertiliser le gazon en plein match. Ce souci du détail montre un cadre d’organisation relativement sérieux et prévoyant. En outre, en restant sur des terrains privés à la périphérie de la ville, le club contournait d’éventuelles restrictions municipales sur les jeux violents dans les lieux publics. Il n’y a pas de demande d’autorisation officielle auprès du conseil municipal. Probablement qu’aucune n’était requise dès lors que l’activité se tenait sur un domaine privé avec l’accord du propriétaire. Le match du 11 décembre 1824 lui-même s’est sans doute déroulé en petit comité, sans annonce publique ni besoin de service d’ordre, ce qui le distingue d’un événement public.

Ce premier match, et ceux qui suivirent jusqu’en 1841, étaient essentiellement des rencontres privées réservées aux membres. Et à quelques invités ou curieux. Il n’y avait pas de billetterie ni de véritable public payant. Toutefois, le club n’était pas secret pour autant. Son existence était connue de certains cercles à Édimbourg. Et il recrutait ouvertement de nouveaux membres parmi les étudiants et jeunes professions. On peut parler d’un club sportif amateur avant la lettre. D’ailleurs, son mode de fonctionnement préfigure les clubs de sport universitaires ou de gentlemen qui fleuriront dans les années suivantes. Réunions régulières, le samedi après-midi en l’occurrence, cotisations, élection informelle d’organisateurs ou de capitaines de jeu, tenue d’une comptabilité et d’une liste de membres. Il n’y avait pas de structure dirigeante du club. Mais John Hope en était incontestablement le chef de file, sinon le secrétaire ou président de fait. Sa forte personnalité est d’ailleurs prégnante. Plus tard dans sa carrière, il sera décrit comme autoritaire et intransigeant, ce qui laisse penser qu’il dirigeait son club d’une main ferme.
Le cadre règlementaire est inexistant. Administrativement, aucune fédération ou code national n’existait pour homologuer ou réguler ce match de 1824. Ce n’est qu’à partir des années 1840-1850 que différentes écoles britanniques commenceront à rédiger des règlements plus complets et qu’apparaîtront les premières instances. Par exemple la réunion de Cambridge en 1848 pour unifier des règles universitaires, puis la Football Association à Londres en 1863. En 1824, le Foot-Ball Club évoluait donc dans un vide juridique sportif, ce qui explique pourquoi ses membres ont dû établir leurs propres conventions de jeu, aussi embryonnaires soient-elles. De même, le club n’avait pas d’affiliation puisqu’il était le seul de son genre. Il faudra attendre 33 ans pour qu’un autre club revendique le titre de club de football : Sheffield FC, fondé en 1857 en Angleterre, généralement considéré comme le plus ancien encore existant à ce jour.
Robert le Bruce pour Pinte2foot
Édimbourg, ville magnifique. La lumière sur le château le soir..
Merci Robert. Tout ce qui touche le XIXeme siècle de notre sport m’est inconnu.
Hello Robert. Tu es manifestement éclectique, capable d’écrire sur l’origine du foot, un stade disparu de San Sebastián, un derby à Sofia ou un hool mort à Barcelone… Merci de révéler des champs différents de ceux traditionnellement explorés par les rédacteurs habituels de P2F.
Avec plaisir, et il y en a encore quelques-uns envoyés ! Pinte de Foot est vraiment très intéressant par la diversité des sujets traités et la qualité des textes.