El hijo del Lobo Solitario

Il est des joueurs capables des plus grands exploits comme, à l’occasion, des ratés les plus invraisemblables. Sans crier garde… Comme si leur mécanique intérieure refusait obstinément de choisir un camp. Le fan, si prompt à lever les bras, s’arrache alors aussitôt les cheveux. Il n’a plus que dégoût et invective à la bouche. Évidemment qu’il allait se foirer… Si on pardonne au médiocre ses échecs, car telle est sa supposée condition, il en va différemment pour le talentueux maladroit. Celui qui a parfois les fils qui se touchent. Peu importe sa passe géniale, deux semaines auparavant, ou ce dribble qu’il est le seul à maîtriser, le constat est implacable. Il s’est à nouveau planté, au pire moment… Et on écrira sur sa tombe qu’il est l’homme des rendez-vous manqués. En plus grossier, un putain d’intermittent. Pas facile d’amadouer la horde des spécialistes en chaussons. Surtout quand on porte un maillot haï par l’immense majorité… Le parcours qui nous intéresse aujourd’hui est celui d’un fils de, au corps aussi long que son pied droit lui était inutile. Il s’appelle Luis Roberto Alves. Dit Zague comme son paternel ou Zaguinho selon sa propre mythologie…

Chef de meute

L’histoire de Zaguinho commence, comme pour nous tous, avant sa naissance. Son père, Alves dos Santos, né en 1934, est un rejeton amoureux de sa ville, Salvador de Bahia. Ayant appris les rudiments de ce sport sur le sable chaud, c’est une tige squelettique mais diablement athlétique, dotée d’un remarquable sang froid devant le but. Surnommé Zague par une tante, car il sprintait en zigzag sur les plages, il rejoint le prestigieux Corinthians en 1956, marque un doublé pour son premier match face à Santos et partage les derniers faits d’arme du héros du coin, Baltazar, dit Cabecinha de Ouro, certainement la plus grande idole du Timão. Si les résultats collectifs sont décevants, Zague va démontrer de réelles qualités de buteur pendant cinq ans. En tout, 127 réalisations en 240 rencontres. Pas de quoi lui offrir une place en Seleçao, même s’il côtoie quelques mois, en prêt, Pelé à Santos, mais suffisant pour susciter l’intérêt en 1961 d’un aspirant-roi sans couronne, le Club America de Mexico DF.

Zague est le suivant après le gardien Gylmar.

Las Cremas de l’America ont une longue tradition, la fondation date de 1916, mais qui n’ont, à l’heure qui nous intéresse, jamais su dominer la scène nationale. Le rachat de l’entité de la part d’Emilio Azcárraga Milmo, en 1959, est un tournant. Héritier du groupe télévisuel Telesistema, qui deviendra le mastodonte Televisa, il injecte d’importantes sommes d’argent qui vont faire changer de dimension le club de la capitale. Zague se laisse charmer par le discours ambitieux d’Azcárraga Milmo, il ne le regrettera pas : « J’ai été embauché pour deux saisons, mais je suis finalement resté huit ans. Mes compatriotes Ney Blanco et Moacir jouaient déjà là-bas. Ney a dit que si l’America voulait être championne, elle avait besoin d’un autre joueur et c’est à ce moment-là qu’ils m’ont engagé. »

Son arrivée à Mexico est le premier coup de maître des Águilas. Rapidement adopté par ses fans, il devient el Lobo Solitario, en hommage à sa façon de roder dans la surface à l’affût de la moindre proie, marque lors de la rencontre inaugurale du Stade Azteca face au Torino et offre surtout le premier titre national à son équipe en 1966, 50 ans après sa création. Le succès de l’America, dopé aux financements sans limite de Telesistema, attire autant qu’il repousse parmi la population. Le club acquiert dès lors l’image de gosse de riche capricieux, une réputation assumée qui fera et fait toujours sa fierté. Toutefois, sous ce déluge incessant d’insultes, la figure de Zague passe habilement entre les gouttes. C’est qu’il fait tout pour se faire apprécier le Brésilien. Comportement exemplaire, désir de faire siennes les coutumes locales et une efficacité qui interdit toute critique. A la fin de son bail au pays d’Emiliano Zapata, Zague aura planté 109 fois, devenant le deuxième plus grand buteur de l’institution. Un homme bien sous tous rapports qui a la brillante idée d’offrir un fils à son pays d’accueil, Luis Roberto.

Au-dessous du volcan

« Comment pourrais-je donc à chercher à m’échapper de moi-même quand je n’ai nulle part où être sur la terre? » Malcolm Lowry

En 1967, 20 ans après la publication du bouquin de Lowry, narrant les dérives éthyliques de Geoffrey Firmin dans la ville imaginaire de Quauhnahuac, naît dans la plus profonde tendresse le petit Luis Roberto. Il a des pieds immenses. De quoi piétiner la lune… Et effectivement, il sera grand. 1,93 mètre et des jambes qui ne lui obéissent pas toujours. Luis Roberto passe les trois premières années de sa vie à Mexico DF, avant de découvrir la patrie de son père, à São Paulo. Il grandit en admirant les premiers tours de piste d’Ayrton Senna et suit les pas de Zague en rejoignant Corinthians. Celui que l’on surnomme désormais Zaguinho partage les entraînements des Sócrates, Dunga ou Casagrande mais reste à la porte du onze titulaire. Une tournée en 1985, en Amérique Centrale, va changer son destin. Coïncidant avec la concentration de la sélection mexicaine en préparation pour son Mondial, Zaguinho est assiégé de questions de la part des journalistes. Questions sur son père, sur son rapport à son pays de naissance. Testé avec succès par l’America, il découvre, à 18 ans, l’effervescence de la capitale aztèque qui l’est pourtant bien proche de quitter en courant le 19 septembre 1985, à la suite du terrible tremblement de terre qui fit plus de 10 000 morts.

Incité à travailler son corps par le taulier défensif Alfredo Tena, Luis Roberto fait ses débuts, 1er novembre 1985, au stade Azteca contre l’Universidad de Guadalajara. Et rate, sous les huées, un gol cantado… Pas le temps de gamberger, il se rattrape une semaine plus tard, sur coup franc, face à Puebla. Son unique réalisation dans cet exercice sur l’ensemble de sa carrière. Ces premiers pas professionnels encourageants ne rassurent néanmoins pas notre homme. Anxieux et avide de reconnaissance, il se promène régulièrement dans les lieux publics afin de juger de sa nouvelle popularité, épluche toutes les coupures de journaux, comme pour mieux se débarrasser de l’héritage encombrant d’un père dont il est pourtant si proche. Ses grands compas et ses courses généreuses deviennent vite familiers des fans aztèques, Zaguinho connaît sa première cape avec le Mexique, face au Salvador, en 1988.

Luis Roberto n’est pas encore le mètre étalon des Águilas, bien qu’il facture régulièrement 16 à 17 buts par saison. Cet honneur échoit au buteur Carlos Hermosillo ou aux géniales improvisations du gaucher brésilien, Antonio Carlos Santos. Le potentiel offensif de l’America est sans égale dans la pays, Zaguinho remporte son premier titre en 1988, face aux Pumas de l’UNAM. Une performance qu’il réédite l’année suivante au-devant de Cruz Azul, lors d’une confrontation où il se sera montré décisif. Le club de la Capitale achève ainsi une décennie lumineuse où il aura gagné un titre sur deux. Le duo El Grandete Hermosillo-Zaguinho a rendu folles les défenses adverses. Malheureusement pour ce dernier, le départ d’Hermosillo pour Liège, en 1989, sonne la fin de la récréation…

Antonio Carlos Santos, le magicien

Falsifications

Le ciel sans nuage de Zaguinho va brusquement s’obscurcir. Sa sélection, après avoir falsifié l’âge de joueurs lors d’une compétition junior, est exclue des qualifications pour le Mondial 90. Hugo Sánchez le Soulier d’Or européen, au sommet de sa forme, ne verrait pas Rome… De plus, Luis Roberto perd la finale du championnat 1990 face aux Pumas d’une génération d’exception. Les Jorge Campos, García Aspe, Luis García et Tuca Ferretti. Sa bonne étoile semble soudainement l’abandonner. Il est constamment épié, sous le feu des critiques. Pour beaucoup, il n’a pas la moitié de la classe de son père, est incapable de mettre un but du droit ou de la tête, un comble pour un homme de sa taille ! On va jusqu’à nier sa mexicanité à cause de son indécrottable accent brésilien. Et quand, à juste titre, il exprime son incrédulité devant la disparition de son sélectionneur Manuel Lapuente en pleine Gold Cup 1991, il le fait contre la mauvaise personne qui saura s’en souvenir…

Les voix considérant qu’il n’a pas les épaules d’un leader se font de plus en plus sonores dans le vestiaire de l’America. César Luis Menotti ayant décidé de se passer de lui en sélection, il retrouve enfin une respiration au sein de l’escadron que dirige Miguel Mejía Barón. Le Mexique crée la surprise en atteignant la finale de la Copa America 1993, où il n’échouera que face à la bande de Batistuta. Avant de finir l’année en beauté, en archi-dominant la Gold Cup. Une épreuve marquée par la performance d’un soir de Zaguinho, une septuplé face aux pauvres Martiniquais! Luis Roberto, privé de Mondial italien par la tricherie de sa propre Fédération, avance en titulaire quatre ans plus tard. Sans être étincelant, son Mondial sera correct. Il est certainement le meilleur sur la pelouse face à l’Italie, provoque un penalty face à la Bulgarie en huitièmes mais personne au pays ne s’en souvient. Ce qui a profondément marqué les esprits des fans du Tri, c’est cet incroyable raté face à la Norvège. Où sur un centre à ras de terre de Ramón Ramírez, qu’il a juste à reprendre du pied pour ouvrir le score, il décide inexplicablement de plonger, détournant ainsi du bras le ballon sur le poteau, avant que la sphère ne rebondisse sur sa tête pour mourir sur la transversale! Une scène digne de Benny Hill qui fait de nos jours le bonheur des bêtisiers et de ses détracteurs…

Chahuté et tourmenté par son échec norvégien, Zaguinho retrouve l’appétit auprès de l’expérimenté coach néerlandais Leo Beenhakker. Comme lors de son passage avec le Real Madrid, Beenhakker fait de l’America une machine offensive qui réussit l’exploit de charmer au-delà de ses terres ancestrales. Appuyés par l’éclosion du jeune Cuauhtémoc Blanco et le recrutement révolutionnaire de François Oman-Biyik et Kalusha Bwalya, Zaguinho et les Águilas Africanas vont ambiancer les stades comme rarement. 88 buts dont 26 des bottes du longiligne attaquant, lui permettant de dépasser Octavio Vial en tant qu’artilleur suprême de l’institution. Un record individuel néanmoins insuffisant pour malmener l’hégémonie du Necaxa d’Álex Aguinaga…

Un fauteuil pour deux

« Ecoute mon fils, tu dois aller dans un endroit où ils t’aiment. » El Lobo Solitario

Malgré son incapacité à regagner la ligue, le désormais capitaine des Cremas s’imagine finir sa carrière dans son club de toujours. Un désir visiblement pas partagé… Sans préavis, il est transféré en 1996 à l’Atlante sur ordre exprès des propriétaires. Zaguinho est abasourdi. Qu’a-t-il fait de mal ? Se refusant à injurier publiquement son ancien employeur, il contient noblement sa rage lorsqu’il marque contre lui avec l’Atlante quelques semaines plus tard. Et comme dans un mauvais scénario de comédie sentimentale, il accepte béatement les excuses de son ancienne amante, revient au bercail, pour se faire larguer définitivement à l’arrivée d’un homme plus séduisant… Le coach, Carlos Reinoso, était l’idole absolue de l’America dans les années 1970. Pour beaucoup, le plus grand joueur de son histoire. A l’instar de Zaguinho, il se fit virer comme un malpropre après avoir tant ému ses partisans. Mémoire courte ou rivalité de coqs, je l’ignore, mais le Chilien ne fit pas de sentiment. Luis Roberto ne porterait plus jamais la tunique des Águilas

Les emmerdes n’arrivant jamais seules, Zaguinho, qui avait fait toute la campagne de qualification pour le Mondial 1998, voit d’un mauvais œil le départ à la tête du Tri de Bora Mulitinović et l’arrivée d’une vieille connaissance, Manolo Lapuente. L’entraîneur au béret n’a pas oublié la cabale médiatique initiée par Luis Roberto après sa fuite en pleine Gold Cup en 1991. Les portes du Mondial lui sont à nouveau fermées… En fin de carrière, Zaguinho s’offrira un dernier frisson, sous les couleurs du Necaxa en 2002. Ne cédant en finale qu’au-devant d’Iván Zamorano et d’un Club America sadique qui lui refuse un happy end…

Gaucher et dévoué mais maladroit de son pied droit et dans le choix de ses mots. Buteur et proie facile, Zaguinho n’aura jamais laissé les fans mexicains indifférents au cours de sa carrière. Il avait tant à offrir et, même temps, tout pour déplaire… Aurait-il eu une trajectoire plus douce si il n’avait porté le maillot plus détesté du pays ? Si il n’avait eu à perpétrer l’idolâtrie du Lobo Solitario ? Possible… On peut, objectivement, lui accorder une force de caractère remarquable qui lui a permis de se relever quasiment à chaque coup bas. Son nom trône sans contestation en haut de l’Olympe de l’America. En compagnie des techniciens Carlos Reinoso et Antonio Carlos Santos, des teigneux Cristóbal Ortega et Alfredo Tena ou des excentriques Cuauhtémoc Blanco et Héctor Miguel Zelada. De son père Zague evidemment, sans qui ce texte n’existerait pas. D’ailleurs, chers lecteurs, connaissez-vous un duo père-fils ayant scoré plus de 300 fois pour le même club ?

19 réflexions sur « El hijo del Lobo Solitario »

    1. Elle était quand même bien basse pour un mec de sa taille. Hehe
      Joyitas del futbol, c’est la même bande que Leyendas del futbol mexicano. Des vidéos très complètes pour avoir de bonnes bases sur le foot azteque.

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  1. On verra la suite de sa carrière mais il y a quelques similitudes avec Santiago Giménez, le très bon buteur actuel de Feyenoord. Santiago est né à Buenos Aires mais il est le fils de Christian Gimenez, un Argentin, qui fut l’idole de Pachuca et Cruz Azul dans les années 2000. Comme le Lobo Solitario le fut pour l’America dans les années 60. Santiago a donc grandi au Mexique pour choisir cette sélection par la suite. Son père jouera quelques matchs avec le Tri.

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    1. J’ai cru que tu parlais de l’autre Christian Gimenez, lui aussi buteur et argentin qui a joué au Mexique (mais une saison seulement à Toluca). Un buteur qui aura laissé une trace indélébile à l’OM, club qui aime tant détruire ses attaquants.
      En tout cas super article, je me souviens de lui sous son nom Luis Roberto Alves à la CDM 94, je me disais qu’il avait un nom brésilien et ça m’avait interpellé. Bon à part son loupé qu’on voyait dans les bêtisiers il ne m’a pas marqué, je me souviens mieux de Luis Garcia ou Campos. Il avait un style physique proche d’un norvégien (qui ne jouait pas encore en 94, Tore Andre Flo).
      Chaque coupe du monde j’aime bien le Mexique, souvent flamboyant en poules mais inexorablement sorti en huitième…Souvent dans des matchs qu’ils dominent en plus. En 1994 j’étais déçu, ils jouaient à domicile (pour la troisième fois) et cela aurait été une belle fête! En 2002 c’est leur pire raté, ils sortent de leur poule relevé devant l’italie, la Croatie et l’Equateur pour finir par se faire sortir piteusement contre des USA moyens.

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      1. J’aime le foot mexicain grâce à Hugo Sanchez, une de mes premières idoles dans ce sport. Et l’édition 94 était une belle cuvée. Luis Garcia, l’ancien de Pumas, a eu un passage à l’Atletico. On trouve également le défenseur de western Claudio Suarez et son acolyte Bernal.

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      2. La dernière Coupe du Monde etait triste pour le Mexique. Première fois qu’ils ne sortaient pas des poules depuis l’édition 78. Mais y a un trou générationnel.

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  2. Encore un joueur que je « connaissais » sans le connaître, merci..d’autant que voilà l’un de tes articles que j’aurai jusqu’ici le plus appréciés, top.

    Plus de 300 buts pour le même club, j’aime bien ce genre de défi!…… ==> Je pensais spontanément aux Thys père et fils (Guy), mais ça ne fait que 200 buts pour le Beerschot, peut-être que s’il n’y avait eu la guerre..

    Ça n’a (vraiment) pas l’air si simple, lol.

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    1. Merci Alex, c’est sympa. El Lobo en a mis 104 pour l’America, son fils 198 donc oui, trouver mieux que ça, ça va pas être simple! Surtout que l’on parle du plus grand club mexicain avec Chivas.

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      1. Moi j’ai 😉
        Aguas père et fils au Benfica! Le père José c’est pas loin de 400 buts et le fils seulement 80 .

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      2. Bien joué Rui. La dynastie Aguas au Benfica, c’était très fort. Même si le fiston avait fait une pige par Porto. D’ailleurs, ça a du faire du bruit au pays à l’époque!

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      3. On se fera un jour un top 50 du foot portugais! Je l’ai en tête depuis longtemps mais on le fera…

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      4. Bon.. Je n’essaierai même pas de faire mieux que Rui!

        Mais je compte toujours bien en trouver, j’avais des Lettons en tête!, mais alors les noms……..et puis, bon : pas vraiment le même niveau non plus..

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    2. Et toi qui aimes les techniciens, mate des images de Carlos Reinoso et Antonio Carlos Santos. Santos était un superbe gaucher et je place Reinoso très haut dans le foot chilien. Un spécialiste de la Rabona, le coup du foulard.
      D’ailleurs, si Ajde passe par là, je lis que l’inventeur de la rabona serait Ricardo Infante, l’idole d’Estudiantes.

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      1. C’est la technique en mouvement qui me botte 😉

        Vais regarder ça.

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    3. Et nous avons deja parlé du passage calamiteux d’Hermosillo à Liège mais c’est incontestablement un des plus grands avant-centres mexicains. Grande idole de l’America et meilleur buteur de l’histoire de Cruz Azul.

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      1. Hermosillo, van Basten, Obama, tchic-tchac-tchouc, Bioman.. : c’était devenu un digesteur de carrières le Standard à l’époque, pas grand-chose à reprocher au Mexicain.

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      2. Après, je pense qu’Hermosillo n’a pas l’attitude la plus adaptée pour s’intégrer. Il me semble l’avoir lu déconseiller à Memo Ochoa de venir à Liège parce que le temps était horrible et les gens froids. Pas beaucoup de remise en question. Hehe

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      3. Temps horrible? Humide c’est sûr.

        Gens froids? On fait difficilement plus chauds en Europe!, heureusement qu’il n’est pas allé en Allemagne ou aux NL 🙂

        Ceci dit, à l’aune du Mexique..?? Ochoa a adoré en tout cas, intégration tip &top et dans un contexte pourtant loin d’être optimal.

        Mais le contexte éprouvé par Hermosillo : très hardcore!

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