Trilogie polonaise : un légionnaire à Manchester

J’adore poser cette question. Bien que les occasions de le faire soient plutôt rares. Qui était, selon vous, le plus grand joueur polonais du XXème siècle entre Zbigniew Boniek, Włodzimierz Lubański et Kazimierz Deyna ? Pas évident, non ? Surtout qu’il y a toujours un petit malin pour me sortir Lato… Si je suis bien incapable de donner un avis définitif sur le sujet, je peux tout au moins laisser parler ma subjectivité… J’aime la tonicité d’un Boniek, ses frappes lourdes et sa capacité à répondre présent lors des matchs de gala, lui qui fut surnommé Bello di notte par Agnelli. Je suis admiratif devant l’habileté d’un Lubański, savant mélange de finesse, d’instinct et de vitesse. Et je ne peux m’empêcher de penser qu’il est le chaînon manquant en 1974. Mais s’il fallait n’en garder qu’un seul, ce serait Kazimierz Deyna. Deyna avait pour lui l’élégance surannée de ces meneurs longs sur pattes, équilibristes prisonniers de la foule et de leur propre don qui ne rêvent pourtant que de se fondre dans le décor… Son allure était lente mais ses gestes précis, ses mots arrachés comme une dent pourrie, un mélancolique que ses yeux trahissaient quand il daignait enfin regarder ses contemporains. Un individualiste forcené sur et en dehors du terrain selon Górski. Né dans un costume étriqué, mort trop jeune pour le foutre définitivement au feu…

Brûler ce que l’on a aimé

Deyna a vu le jour en Poméranie, en 1947. Son père travaillait comme ouvrier à la coopérative laitière du coin, sa mère s’occupant quant à elle de ses dix marmots. Destiné à devenir électricien, le jeune Kazimierz est un touche-à-tout, excellant aussi bien en handball qu’en athlétisme, avant de suivre les traces de son frère aîné chez le modeste club de foot de Włókniarz. Il joue les Spartakiades des ouvriers, en tant qu’employé d’une usine de chaussures, intègre le onze de la région de Gdańsk mais ne suscite aucune attention particulière avant 1965 et une première convocation en sélection junior face à la RDA. A la suite d’un imbroglio l’ayant vu signer en même temps pour les deux clubs phares de Gdańsk, Deyna est suspendu neuf mois et rejoint contraint et forcé un de ses frères à Łódź où il intègre le prestigieux ŁKS. Une unique rencontre de première division plus tard, il est enrôlé par les militaires du Legia.

Deyna le taiseux avait vainement tenté de sauter la case service militaire. Appelé sous les drapeaux à l’automne 1966, il déserte une nuit, fugue lui coûtant un court passage en prison mais son transfert au Legia validé, Kaziu n’a d’autre choix que de se faire au kaki. A sa manière, en dilettante… Sergent ne participant que rarement aux exercices, jeune homme attaché à son look qui redoute qu’on lui ordonne de couper ses rouflaquettes, Deyna mène une existence solitaire dont il ne s’extrait que lorsque qu’une jolie fille apparaît devant lui. Sur le terrain néanmoins, l’influence de ce dragueur invétéré est incontestable. Le Legia réapprend à gagner, Deyna multiplie les exploits avec sa sélection et devient une figure internationale des années 1970. Les fans de Varsovie voient en lui le successeur du fidèle et dévoué Lucjan Brychczy et accueillent avec gratitude l’arrivée de Mariola dans sa vie, rencontre censée contenter cet éternel insatisfait. Ils se trompent lourdement…

Deyna se sent à l’étroit dans son pays. A l’étroit et déconsidéré… Lui qui prêtait si rarement attention à son environnement voit d’un mauvais œil les départs pour l’étranger de Gadocha et Lubański. Insinuer qu’il est jaloux n’est peut-être pas le sentiment exact : piégé paraît plus approprié. Piégé par ce grade de sergent dont il n’a jamais voulu et qui limite drastiquement ses perspectives. Piégé par l’image déplorable que le Legia suscite en dehors de la Capitale… Le point de non-retour est atteint le 29 octobre 1977, lorsque la Pologne fait match nul à domicile contre le Portugal lors des qualifications pour la Coupe du Monde argentine. Deyna inscrit l’unique but de sa sélection, un but génial, d’un corner direct, mais sort sous les huées des 80 000 spectateurs. Le peuple polonais ne supporte plus la mainmise communiste et l’exprime à tout rompre, certes, mais il est également devenu présomptueux. On exige de la sélection le même parcours qu’en 1974, et l’échec de Deyna sur penalty face à Fillol au deuxième tour à Rosario ne va pas arranger ses affaires…

Matériel médical

« J’ai eu des offres pour jouer au Real Madrid, à Milan, à l’Inter, au Bayern, à Saint-Étienne… Le prince Rainier m’a personnellement encouragé à venir à Monaco. J’ai longuement réfléchi à l’offre du Real car c’était mon rêve d’enfant. Mais peu importe, ils ne veulent pas me laisser partir. Je partirai probablement quand je ne pourrai plus courir. Et qui m’achètera alors ? » Kazimierz Deyna

Le Mundial 1978 a laissé de profondes cicatrices et Deyna devient la cible privilégiée de courageux noctambules qui n’hésitent pas à vandaliser sa maison ou sa voiture selon l’humeur. Membre de l’Armée Populaire, il ne peut officiellement rejoindre un pays membre de l’OTAN. Officieusement, un mystérieux intermédiaire du nom de Ted Miodoński, Polonais exilé, lui cherche un point de chute en Angleterre depuis plusieurs semaines. Manchester City tient la corde, les conditions du Legia sont pour le moins surprenantes… Bernard Halford, secrétaire de City se souvient : « Deyna coûtait 110 000 £ selon eux. Mais ils exigeaient également du matériel médical et des photocopieuses. Nous n’avions jamais conclu un accord pareil auparavant… Les premières réunions ont eu lieu dans les locaux du Legia afin de rencontrer les hauts gradés de l’Armée. Deyna était vêtu de son uniforme. Le président de City, Peter Swales, impressionné par la discipline de Kazimierz, a déclaré : C’est exactement ce dont nous avons besoin à City. »

Ce serait donc City, très loin à l’époque de sa puissance actuelle. Bien loin des cadors européens qui se pressaient à sa porte auparavant mais Deyna, si impatient de changer d’horizon, n’en a cure. Le 7 novembre 1978, sa petite famille est accueillie à l’aéroport de Ringway par le sourire des journalistes et des supporters. Ses débuts à Maine Road en amical attirent 38 500 curieux. L’adaptation de Deyna à son nouvel environnement sportif et quotidien est néanmoins délicate. L’instabilité règne au sein de l’institution autant que dans la cité ouvrière. Ça sent le soufre dans les ruelles et la testostérone sur la pelouse… Deyna l’esthète découvre, hébété, un football athlétique et vif, fait d’incessantes cavalcades et de luttes aériennes. On le positionne judicieusement en tant qu’avant-centre, lui qui ne marquait jamais de la tête. On lui conseille amicalement de ne pas hésiter « à sauter comme un cabri et frapper le défenseur au visage avec son coude. » La vérité du terrain est cruelle : Deyna, quand il n’est pas blessé, joue au ralenti et reste muet pendant de longs mois et une rencontre face Borussia Mönchengladbach. Son unique rendez-vous européen avec City… Une élimination logique mais un déclic chez le coach Tony Book qui l’emploie par la suite à son poste de prédilection. Kaziu renaît de ses cendres et participe grandement au maintien de son club. La furtive embellie ne survivra pas au limogeage de Book…

L’été 1979 sonne l’heure de filer à l’anglaise. Le vieux Mick Channon et la jeune promesse Peter Barnes quittent sans remords un navire dont ils connaissent l’état déplorable. Deyna traine ses guêtres du côté de la communauté polonaise de la ville, plus à la recherche d’un verre que de chaleur humaine, hermétique aux accolades autant qu’à la langue de Shakespeare selon Górski. Ses coéquipiers anglais ont les pires difficultés à déchiffrer ses codes. Gary Owen témoigne : « Tout chez lui était gris. Je le dis sans méchanceté, c’est comme ça qu’il était. Nous étions à l’Ouest, lui venait du bloc de l’Est. C’était une nouveauté pour nous tous, y compris pour lui. Il avait seulement l’air de porter des vêtements gris et sombres. On aurait dit qu’il se sentait encore obligé d’adhérer à un régime militaire. Et c’était peut-être là le problème. Peut-être que lorsqu’il a compris qu’il n’y était plus obligé, il a commencé à être un peu plus rebelle et plus libre. En tant que footballeur, on ne pouvait qu’admirer son talent et sa technique, mais je ne suis pas sûr qu’il ait jamais été vraiment heureux ici. » Si on peut questionner l’expertise vestimentaire d’Owen, on peut néanmoins lui accorder d’avoir vu juste dans les silences de Deyna. Ce dernier ne supporte plus ce football grossier qui n’est pas le sien, regrette presque le temps où il était devenu paria dans son propre pays. Paria peut-être, mais non un vulgaire anonyme rongeant son frein sur le banc. Il signe soulagé, en 1980, un contrat lucratif aux San Diego Sockers grâce aux dons de négociateur de l’ami Ted Miodoński.

Rendez-vous manqué

« Kaziu n’aurait pas pu choisir pire endroit. L’Angleterre, c’était la course. C’était très différent du football plus technique pratiqué en Europe. Je me souviens d’être allé à Manchester à la fin des années 1970 pour une émission télévisée. Kaziu est venu me voir et m’a dit : Jan, on ne fait que courir depuis le vestiaire, courir encore, puis revenir au vestiaire. On ne fait que courir. Ce n’est pas du football. » Jan Tomaszewski

Si l’analyse du foot anglais de Tomaszewski et Deyna peut apparaître caricaturale, tant les clubs britanniques ont dominé la fin des années 1970 et le début des années 1980, ils ne sont pas les seuls à considérer le choix de Manchester City comme malencontreux. Son ancien sélectionneur Górski l’imaginait briller de mille feux au sein de la Serie A, en omettant la fermeture de la Ligue aux étrangers, tandis que Stefan Szczepłek, journaliste et proche, regrettait que Kazimierz se soit enfermé dans un fantasme sportif et culturel, émanation du souvenir de la brillante qualification pour le Mondial 1974 à Wembley quelques années auparavant. Selon lui, Deyna était persuadé de réussir et de s’épanouir dans ce nouveau monde…

City était chroniquement malade, aucun de ses coachs ne sut l’employer à bon escient, et Deyna ne rencontra pas les partenaires idoines pour développer sa symphonie, mais s’est-il réellement donné les moyens de ses ambitions ? Ses vieilles articulations, son caractère sauvage et la rareté de ses paroles, des remises en question inenvisageables : pas la meilleure façon d’apprivoiser un univers dont on ne maîtrise pas les nuances. Un univers violent et triomphant qui dévastait tout sur son passage à l’époque et qui ne se souciait guère de vos états d’âme… S’il se montra toujours courtois, ne critiquant jamais en public son employeur et assumant avec orgueil son choix anglais, Deyna devenait plus acerbe dans l’intimité. Archaïques et idiotes étaient les approches stratégiques, puériles étaient les luttes de pouvoir internes dont il avait été la victime. Une nouvelle fois, on l’avait pris en otage…

Passé chez l’Oncle Sam, après avoir partagé l’affiche avec Sylvester Stallone dans A nous la victoire, Deyna devint un chouchou des Ltinos de San Diego, un cador du foot indoor et reçut les félicitations du président Ronald Reegan en personne. Il se souviendra avec tendresse du soutien sans faille de Maine Road et admettra qu’il s’était trompé lors de son passage anglais. Que le football n’est finalement pas un langage universel. En tout cas, pas le sien. Résilience et American Dream… En coulisses, l’ancien légionnaire sombrait toutefois, alcool dans le sang et argent volatilisé dans les poches du funeste Ted Miodoński… Deyna était miraculeusement sorti indemne d’un accident de voiture survenu en Angleterre où des policiers, le suivant pour une raison obscure, avaient embouti une autre bagnole et blessé gravement ses cinq passagers. Il n’eut pas la même chance la nuit du 31 août au 1er septembre 1989, au volant de sa Dodge Colt blanche, lorsqu’il percuta un camion garé sur la voie d’urgence. Il roulait à grande vitesse et avait bu. On dissimula son visage sous des bandes lors de son enterrement. Lui, l’ancien charmeur qui rêvait de rentrer définitivement chez lui, auprès de ceux qu’il avait si souvent négligés…

18 réflexions sur « Trilogie polonaise : un légionnaire à Manchester »

  1. Le City de fin-70’s est effectivement bien malade, le pire l’ayant peut-être été sous Malcolm Alisson – type que l’un ou l’autre médias aiment mettre à l’honneur, alors que?? Le fait est qu’il a fait un mal fou à ce club comme entraîneur, dépenses somptuaires à gogo.. Les détails m’échappent mais, de tête : accablant.

    Lubanski? Boniek? Deyna? J’ai un faible pour Lubanski, sa technique en mouvement était peut-être la meilleure d’Europe, joueur absolument superbe.

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    1. Pour la pomme de Malcolm Alisson, je retrouve mes tartines : les transferts de Steve Daley et de Michael Robinson. Ces joueurs ne furent peut-être intrinsèquement pour pas grand-chose voire rien dans ce fiasco à quatre mains, mais difficile de faire mieux pour couler un club sportivement et financièrement. Le passage de cette espèce d’idole coolos-décadente a fait un mal fou à ce club, je ne comprends pas trop ce qu’on lui trouve.

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      1. Quid de Michael Robinson en..Espagne, lui aussi?

        J’ai l’impression que tu en as déjà parlé, Khiadia, mais??

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      2. Michael Robinson l’Irlandais, c’est l’équivalent de George Eddy pour le basket én France. Après avoir joué à Osasuna, il est resté en Espagne pour bosse sur Canal Plus. Pareil qu’Eddy, un accent terrible en Espagnol, je pense qu’Eddy a moins d’accent, c’est dire, mais très apprécié. Il avait une chouette émission, Informe Robinson qui faisait de chouettes reportages. Faciles à trouver sur le web. Il est mort à Madrid, il y a quelques années. Certainement l’Irlandais le plus important de l’histoire du foot espagnol !

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  2. Tu cites Peter Barnes, un fameux accident industriel à Leeds (autre club bien malade à l’époque)…………mais en voulant me rafraîchir la mémoire, j’apprends qu’il a joué au..Betis?? J’ignorais totalement, ça a donné quoi?

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    1. Sinon Peter Barnes au Betis, ça a foiré même si les Sevillans sortaient d’une bonne saison puisque Barnes affrontera Benfica en route vers la finale de l’UEFA 1983. A mettre au même niveau qu’un Antonio Oliveira qui était arrivé en étant considéré comme le meilleur joueur du championnat portugais. Du fric mais des flops.

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  3. Urbanistiquement, le Manchester qu’il a connu a dû être peu ou prou du même tonneau que son Lodz – ville qui depuis bonne vingtaine d’années gagne d’attraits…….à mesure du moins de la réhabilitation de ces vieilles fabriques aux briques rouges. Pas glamour mais plutôt vibrant, y a un truc. Et qui autorise à penser que Deyna aurait pu mobiliser ses souvenirs de Lodz pour trouver à s’épanouir humainement à Manchester.

    Concernant les affaires du football, par contre : je crois volontiers que ce fut inconciliable.

    Courir, courir, courir…. ==> Ca ne devait pas être donné à tout le monde de se fondre là-dedans.

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  4. Beau papier et jolie photo, très «mancunienne » et surtout très « loachienne », qui illustre parfaitement le destin tragique de cet esthète du foot. … Deyna ou l’incarnation du jeu élégant et offensif des aigles. Je ne savais pas qu’il avait fini dépressif et ruiné (je l’ai appris en lisant le dernier So foot). C’est lui qui mettra cette équipe sur la carte du foot, en battant l’URSS de Blokhine et en mettant un doublé contre la Hongrie au JO de Munich 72. Il manquera aussi cette égalisation contre l’Argentine 78 et refermera une première parenthèse pour cette génération dorée. Mais je ne l’ai pas vu joué donc ces phrases ne valent pas grand-chose…
    A l’opposé du « foot grossier » (il aurait du suivre Kempes à Valence 😉 ), il aura sans doute apprécié la partition parisienne du jour.

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    1. La photo a été prise à proximité de Maine Road. Ils ont fait un texte récent sur Deyna, Sofoot ? La Liga est longtemps restée hermétique aux talents venus du bloc socialiste. Mise à part la récupération des fameux hongrois de 56, Puskas, Czibor ou Kocsis, dans les pas, on ne retrouve pas de noms ronflants avant les années 80. Pour des raisons politiques évidentes et pour la fermeture de la Liga aux étrangers mais même à l’ouverture…
      De tête, je vois le pote de Verano Kustudic à Hercules ou le vieux Antic à Saragosse dans la fin des 70′. Hadzibegic au Betis et un Surjak au bout du rouleau à Saragosse mais il faudra vraiment attendre la fin des années 80 pour voir une arrivée masssive. Après les échecs de Rats ou Dassaev , les années 90 vont voir les réussites des Suker, Stoichkov, Kodro, Karpin, Mijatovic ou Gudelj et les échecs des Hagi ou Prosinecki. Mais à l’inverse des championnats belges ou français, la Liga n’écrira pas son histoire avec les talents yougos avant ces 40 dernières années.

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      1. Ce mois-ci, So foot met en avant l’équipe composée pour le film « A nous la victoire ». C’est dans le petit encart consacré à Deyna que j’ai appris son suicide.. du coup, j’ai un peu fouillé cette info.
        Si cela vous intéresse, un lien vers podcast itw de Guy Roux expliquant, notamment, les stratagèmes qu’il a déployés pour faire Szarmach en 80.
        https://podcast.ausha.co/en-dehors-de-ma-surface/guy-roux
        Concernant les transferts de cette génération, c’est le mariage entre KSC Lokeren & Lato qui me surprend le plus (mais je connais peu cette histoire).

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      2. Et A nous la victoire, j’ai du le voir très jeune mais je n’ai quasiment aucun souvenir. Je sais que c’est pas un chef-d’oeuvre, ça oui, mais à l’époque, je devais connaître Pele et à la rigueur Moore mais les Ardiles, Deyna, Van Himst ou la bande d’Ipswich, c’est sûr que non.

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      3. L’impression qu’on en avait déjà parlé, un personnage volcanique, euphémisme.. A sa décharge : une vie qui n’eut rien de facile, à l’arrache………mais lui non plus ne fut pas facile, il me semble l’avoir évoqué (et pas en bien) dans l’article consacré à Suurendonk.

        Je me rappelle de son fils Ronny, qui évolua en Belgique pendant des années. Un vrai, bon petit joueur, mais le tempérament n’était pas triste non plus.

        Co Prins peut sans trop hésiter être tenu pour une victime du dopage NL ; en tout cas les spécialistes NL n’hésitent pas à l’ériger en totem (parmi 2-3 autres) du doping NL des 60’s.

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  5. Tiens, je vois qu’on lui a dressé une statue, et elle n’était pas là quand je travaillais dans le quartier, 2012.. ==> Installée dans le cadre de l’Euro domestique, j’imagine?

    Un des plus beaux quartiers de Varsovie. Aux beaux jours : allez-y voir des concerts gratuits des oeuvres de Chopin ou des danses folkloriques, dans le parc du (joli) château de Lazienki, ça vaut vraiment le coup!

    Je me demande si d’autres statues ont été installées pour l’occasion?

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