1973-1974 : Deutscher Fußball über alles – 1re partie : l’automne des ambitieux

« Überheblich, überlegen,

Übernehmen, übergeben,

Überraschen, überfallen,

Deutschland, Deutschland über allen » (1)…

Éparpillés aux quatre coins de leur RDA natale, Till Lindemann et les autres futurs membres du groupe Rammstein n’avaient guère plus de 10 ans en cette saison 1973-1974 qui a vu l’Allemagne, Est et Ouest confondus, réaliser la plus belle saison de son histoire. Peut-être les paroles du déjà immortel Deutschland ont-elles germé à ce moment-là dans l’esprit de ses auteurs… Retour sur neuf mois de Fußball qui ont vu les descendants d’Arminius tailler en pièces les légions du football mondial.

Prologue

À l’été 1973, il flotte un air de fin de règne dans le football européen. Ce n’est certes pas comparable au changement d’ère de 1970 qui a vu Feyenoord puis l’Ajax porter les gens du Nord au sommet après quinze ans de supériorité latine. Mais tout le monde sait que cet Ajax, qui vient de perdre Johan Cruyff parti pour Barcelone, est tout à coup devenu vulnérable après trois ans de domination sans partage. Les prétendants à la succession ne manquent pas, et les regards se tournent presque naturellement du côté de l’Allemagne. Depuis l’avènement du professionnalisme en RFA en 1963, les clubs ouest-allemands sont de plus en plus présents dans la lutte pour les trophées européens. L’équipe nationale a brillamment remporté l’Euro 72 et est la grande favorite de la Coupe du monde 1974 organisée sur son sol. On en oublierait presque la progression discrète mais régulière du « frère ennemi » est-allemand, dont les clubs pointent eux aussi le nez en Europe et l’équipe nationale a cessé d’être un souffre-douleur dans la course aux phases finales.

En cette époque déjà lointaine, la rentrée du football international se fait avec la rentrée scolaire. L’URSS n’a pas encore éclaté et l’UEFA ne compte en conséquence que 33 membres. Compte tenu de la politique de la chaise vide que mène alors l’Albanie d’Enver Hoxha, les tours préliminaires de Coupe d’Europe que l’on connaît aujourd’hui ne sont pas nécessaires : tableau à 32, élimination directe à tous les étages avec règle des buts à l’extérieur, et c’est parti. Les équipes nationales, elles, ne jouent que six ou sept matchs par saison dans des groupes de qualification à trois ou quatre.

L’indice UEFA pour l’attribution des places n’existe pas encore (ce sera pour 1979), mais la RFA s’est vu octroyer quatre strapontins en Coupe de l’UEFA (comme l’Italie et l’Angleterre) au vu des performances de ses clubs. Le Bayern, sacré champion de haute lutte devant son grand rival Mönchengladbach, est qualifié pour la C1 dont il fait partie des favoris. Le Borussia, lui, a remporté la DFB-Pokal après une superbe finale face au FC Cologne et figure donc en C2. Son vaincu a tout de même décroché la C3 dans laquelle il est accompagné par Fortuna Düsseldorf, le VfB Stuttgart, et l’étonnant Wuppertaler SV, quatrième pour sa première saison en Bundesliga.

Parmi ces bons pros qui décrochent la seule qualification européenne de l’histoire du Wuppertaler SV, le gardien Manfred Müller (en rouge), qui perdra avec le Bayern la finale de la C1 1981-82 face à Aston Villa.

À l’Est, les années 70 sont marquées par le duel épique entre le Dynamo Dresde et le FC Magdebourg. Ici aussi, on s’est partagé le butin : le Dynamo, champion, part en C1, pendant que les Blau-Weißen du 1. FCM, vainqueurs de la Coupe, prennent le chemin de la C2. En C3 aussi, c’est une affaire d’habitués avec le Carl Zeiss Iéna et le Lokomotive Leipzig, des noms que l’Europe du football commence à bien connaître.

Du côté des équipes nationales, la RFA, championne d’Europe en titre, est qualifiée d’office pour la Coupe du monde qu’elle organise à la fin de la saison. En attendant, elle s’étalonne avec une série de matchs amicaux. En RDA, la fièvre monte autour de la sélection. Après avoir échoué de peu à se qualifier pour les quarts de l’Euro 72, elle a pour la première fois une chance réelle de participer à un Mondial. Il lui reste deux matchs éliminatoires à disputer (sur six), dont une « finale » à domicile face à la Roumanie, le 26 septembre, qui décidera en principe duquel des deux décrochera le précieux sésame.

Automne, première époque

La saison commence en douceur le 5 septembre avec une victoire tout de même probante de la RFA sur l’URSS, son adversaire en finale de l’Euro 72, au stade Lénine (1-0). Pour les hommes d’Helmut Schön, les choses se mettent doucement en place sur la route du Weltmeisterschaft 1974.

En C3, Wuppertal prend la porte, comme on s’y attendait un peu, face aux Polonais de Ruch Chorzów (avec le futur Lensois Joachim Marx) malgré un joli baroud d’honneur au retour (1-4, 5-4). Düsseldorf, contre les Norvégiens de Naestved (1-0, 2-2), et Cologne, contre les Turcs d’Eskişehirspor (0-0, 2-0), passent sans forcer. Le Carl Zeiss Iéna (3-0, 3-0 contre les Finlandais du Mikkelin Palloilijat) et surtout Stuttgart (9-0, 4-0 face aux Chypriotes de l’Olympiakos Nicosie) la jouent facile.

La première surprise vient de Turin où le Lok Leipzig, connu en RDA comme une redoutable équipe de contre, va battre le Torino de Sala et Pulici au Stadio Comunale avant de récidiver au retour (2-1, 2-1). L’élimination du Real Madrid par les Tractor Boys d’Ipswich Town, surgis de nulle part (1-0, 0-0), et l’exploit de l’OGC Nice face au FC Barcelone (3-0, 0-2) sont les autres faits marquants de ce premier tour.

Lok Leipzig-Torino, premier tour retour de la C3. Rainer Lisewicz (maillot clair) ouvre la marque au Zentralstadion (8ème).

En C2, Mönchengladbach éparpille comme prévu les Islandais de l’ÍB Vestmannaeyja façon puzzle (7-0, 9-1). Magdebourg, quant à lui, s’est vu offrir un premier tour piégeux face à un NAC Breda qui n’est pas l’Ajax ou Feyenoord mais s’est endurci à les affronter en Eredivisie. Il se tire fort bien d’affaire, Axel Tyll et Martin Hoffmann signant au retour une qualification convaincante (0-0, 2-0).

C’est la C1 qui va réserver des émotions que l’on n’attendait pas. Le Bayern a abordé son premier tour face aux Suédois d’Åtvidaberg avec un excès de confiance typiquement bavarois. Le but encaissé à l’aller au stade olympique (3-1) aurait dû lui mettre la puce à l’oreille, mais non… Au retour, il se retrouve carrément mené 3-0 avant qu’un exploit d’Uli Hoeneß ne lui permette d’arracher la prolongation. On en vient aux tirs au but où la chanson est connue avec les Allemands, Kaiser Franz lui-même marquant le tir victorieux. Les Munichois en profitent pour chiper l’attaquant Conny Torstensson (deux buts) à leur adversaire du jour. Le Suédois fera quatre belles saisons au Bayern et se montrera particulièrement décisif en Coupe d’Europe.

Match retour Juventus-Dynamo Dresde : on peut dire que Pietro Anastasi ne lâche pas Hartmut Schade d’une semelle.

Le Dynamo Dresde, quant à lui, a tiré un épouvantail : la Juventus, finaliste sortante et donnée parmi les favoris cette saison. La surprise est générale quand les Allemands de l’Est signent un 2-0 bien propre à l’aller au Dynamo-Stadion. Deux semaines plus tard, dans un Stadio Comunale chaud bouillant, la Juve mène 3-1 au bout de 30 minutes. Mais le Dynamo a choisi de ne pas se cacher, il répond sans complexe à la pression italienne, et Rainer Sachse marque à la 75e minute le but qui enterre définitivement les espoirs turinois et signe le premier grand coup de cette C1 (2-0, 2-3). On en oublierait presque l’élimination piteuse du FC Nantes par les modestes Danois de Vejle (2-2, 0-1), un résultat dont on parlera encore dans l’Hexagone 10 ans après.

Neuf qualifiés sur 10 pour les deux Allemagnes, dont un carton plein pour la RDA, c’est un joli score. Chez les deux autres pays à six clubs, l’Angleterre (six sur six) a fait mieux que la RFA, tandis que l’Italie a vécu un désastre (deux sur six). Seul le Royaume-Uni au complet (Angleterre, Écosse, Galles, Irlande du Nord) soutient la comparaison en nombre de qualifiés (11 sur 15), mais pas en pourcentage (73% contre 90%).

Entretemps, tous les yeux dans « l’État des travailleurs et des paysans » (2) se sont tournés vers Leipzig pour la finale avant la lettre du groupe 4 des éliminatoires de la Coupe du monde. Avant le match, la RDA compte un point de retard sur la Roumanie (victoire à deux points). Après celui-ci, les adversaires du jour auront chacun un dernier match contre un faire-valoir déjà éliminé. Les hommes de Georg Buschner doivent donc impérativement gagner pour espérer décrocher l’unique place qualificative.

Ce 26 septembre, dans un Zentralstadion un peu trop bien rempli (on parlera officieusement de 110 000 spectateurs), c’est le jour de gloire du capitaine Bernd Bransch. En deux patates kolossales sur coup franc indirect, il met son pays sur les rails du WM (2-0), sous réserve de gagner en Albanie deux mois plus tard. Le Dynamo Dresde a toutefois perdu dans l’affaire son attaquant Hans-Jürgen Kreische, jambe brisée sur une sortie à la Schumacher du gardien Răducanu. La chose aura son importance à l’épisode suivant.

RDA-Roumanie, le 26 septembre 1973. Bernd Bransch vient de pilonner Răducanu pour le premier but est-allemand (42ème).

Automne, deuxième époque

En attendant son dernier match de qualification en novembre, la RDA reste dans le rythme en battant l’URSS en amical à domicile (1-0). Elle n’aura pas le droit à l’erreur en Albanie, car la Roumanie a terminé son parcours dans le groupe 4 en atomisant la Finlande (9-0) pour reprendre la tête. En face, la RFA poursuit sa préparation avec deux victoires sur l’Autriche (4-0) et les Bleus de Stefan Kovacs (2-1), cette dernière étant le premier match international joué au Parkstadion de Gelsenkirchen construit pour la Coupe du monde.

Du côté des clubs, le deuxième tour des Coupes d’Europe voit apparaître les premières difficultés. En C3, c’est au tour du Carl Zeiss Iéna de mordre la poussière (0-3, 1-0) face à un Ruch Chorzów de plus en plus convaincant qui causera d’ailleurs bien du souci aux Verts la saison suivante en C1. Le coup passe tout près pour le Lok Leipzig qui n’élimine les Wolves de Wolverhampton qu’au bénéfice des buts à l’extérieur (3-0, 1-4) après une belle bataille de bûcherons. Le VfB Stuttgart, opposé aux Tchécoslovaques du Tatran Prešov, se retouve à égalité après 180 minutes (3-1, 1-3), puis marque quatre buts en prolongation (!) pour se qualifier. Fortuna Düsseldorf, battu à Vienne par l’Admira/Wacker, sort l’artillerie au retour au Rheinstadion pour passer (1-2, 3-0). Cologne, enfin, a hérité de l’Olympique de Marseille, en fin de cycle et en pleine dégringolade après les grandes années 1970-72. Si les Trésor, Skoblar, ou autres Magnusson créent bien l’espoir à l’aller au Vélodrome, ils subissent une terrible punition au retour et quittent l’Europe avec des trous partout (2-0, 0-6). Pendant ce temps-là, un quadruplé de Marc Molitor à l’aller permet à Nice de continuer son chemin face à Fenerbahçe (4-0, 0-2). On en reparlera.

Cologne-OM : au filet face à Georges Carnus, c’est jeu, set, et match.

En C2, Mönchengladbach a tiré les Rangers de Glasgow qu’il élimine sans trop trembler (3-0, 2-3) dans le style spectaculaire qui fait sa renommée. Magdebourg, quant à lui, sent passer le vent du boulet face aux camarades socialistes du Baník Ostrava. Défaits en Moravie à l’aller, les Allemands de l’Est réussissent leur remontada à l’Ernst-Grube-Stadion (0-2, 3-0 a.p.), Jürgen Sparwasser en personne signant la qualification à la 104e minute. Ce même jour, l’Olympique Lyonnais de Chiesa et Di Nallo fait honneur à la lose tricolore des années 70 en prenant le bouillon (3-3, 0-4) face à un PAOK Salonique qui n’avait pourtant rien d’exceptionnel.

Une fois encore, c’est la C1 qui va réserver les plus belles émotions avec le premier affrontement interallemand de l’histoire des compétitions européennes : Bayern contre Dynamo Dresde. P2F a évoqué par ailleurs et en détail ce double duel, entré droit dans la légende de la Coupe d’Europe, qui voit les Bavarois s’imposer de justesse (4-3, 3-3) au terme d’un combat de titans. L’absence au Dynamo du canonnier Kreische (143 buts en 256 matchs en carrière) aura pesé son poids, surtout au retour où les Saxons auront gâché une belle occasion d’arracher la prolongation en toute fin de match.

Quand la fumée se dissipe, cinq Wessis et deux Ossis sont donc encore debout dans le camp allemand. Il n’y a plus que trois Anglais, dont deux ont sorti des Écossais dans des duels « fratricides » de la Couronne, et cinq sujets de Sa Majesté au total. Aucun autre pays n’est plus en mesure de rivaliser. Seule une hécatombe aux tours suivants peut désormais empêcher l’Allemagne de « remporter » la saison.

(Deuxième partie disponible ici)

(Troisième partie disponible ici)

Dynamo Dresde-Bayern Munich : sous les célèbres mâts d’éclairage dits « girafes » du Dynamo-Stadion, Reinhard Häfner (aux 16 mètres, hors cadre) marque le troisième but saxon (56ème).

Notes :

  1. « Arrogants, supérieurs, prendre en main, passer la main, surprendre, prendre/pris en embuscade, l’Allemagne, l’Allemagne au-dessus de tous »
  2. Staat der Arbeiter und Bauern, selon le slogan officiel en pur marxiste-léniniste dans le texte.

25 réflexions sur « 1973-1974 : Deutscher Fußball über alles – 1re partie : l’automne des ambitieux »

    1. Elle a fait la politique de la chaise vide pendant plusieurs années dans les années 70. Ça a un peu arrangé les Bleus qui l’avaient tirée dans leur groupe de QCM 78 avec l’Irlande et la Bulgarie. On connaît la suite IRL ; fragile comme elle l’était à l’époque, cette équipe de France-là aurait été capable de laisser un point à Tirana et de manquer la qualification.

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      1. C’était la Bulgarie la tête d’affiche du groupe au tirage donc? Ils avaient eu du bol quand même. La Bulgarie sortait de 4 Mondiaux consécutifs mais sans jamais briller. Et l’Irlande n’avait jamais joué un Mondial.

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      2. Après si je ne dis pas de bêtise, être présent au Mondial de 62 à 74, mise à part les Italiens et les Allemands, personne ne l’a fait. Donc, sacrée régularité pour la Bulgarie.

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      3. Je parlais en Europe Europe évidemment. Mais même l’Argentine n’a pas réussi à la faire.

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  1. La finale 73 gagnée par Gladbach est celle où Netzer imposa son entrée pendant les prolongations, avant de mettre le but vainqueur face à Cologne. Son dernier fait d’armes avec Gladbach puisque il part au Real par la suite.

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    1. Alors , j’avoue que j’étais trop jeune durant la période dorée stéphanoise ( oui je n’ai connu que la loose avec mon club …) quoique j’ai pleuré à 4 ans devant la finale de 1976 😁 … Mais je n’ai pas souvenir d’avoir entendu ce genre de scène qui ne m’étonnerait guère vu la conscience de classe ouvrière qui habitait le peuple vert, dont il reste encore quelques bribes de nos jours, durant cette triste période de déclin industriel… De ce que je sais l’aller a été un remake de celui de l’Hajduk quelques semaines plus tôt, une catastrophe dans un stade surchauffé , avec juste assez de force pour rétablir la situation en fin de match (2-3) et un retour très crispé dans une ambiance de folie furieuse , sous la neige (stéphanois quoi 😁) avec un 2ème but libérateur à 5 mn de la fin ( 2-0) . Un supporter logé sur le toit de GG en a même sabré le champagne ! Autre époque … Et une demi-finale contre notre meilleur ennemi , le Bayern qui se pointait à l’horizon …
      Sinon, super article . J’ai hâte de lire la suite !

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      1. J’ai lu les textes de Footballski. Ils ne sont effectivement pas mal, mais les changement intempestifs de temps de narration, du présent à l’imparfait et retour, n’auraient pas survécu au crayon rouge de certains de nos correcteurs. P2F place tout simplement la barre plus haut !

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  2. La RFA n’usurpait pas son quota de 4 clubs autorisés en UEFA, mais les performances de clubs n’y étaient pas pour grand-chose : la population, et plus encore l’influence, primaient. J’en veux par exemple pour preuve la France : 5 équipes alignées alors en Coupes d’Europe (à l’instar bon an mal an des Espagnols, Portugais ou Yougoslaves) alors que, au regard de ses performances et des calculs présidant à l’indice UEFA, elle naviguait au-delà de la 20ème place continentale – a contrario, les clubs néerlandais, si dominants fussent-ils, ne pouvaient en aligner que 4 (comme les Belges du reste).

    Bref : ce n’était guère objectivé. Ce doit être en 74 ou 75, à vérifier, mais il y a ainsi une édition où le quota des Belges est supérieur à celui des Néerlandais!!!, pourtant peu ou prou second championnat le plus performant d’Europe…… ==> A n’y rien comprendre.

    Dans la baisse de régime d’Ajax, je crois qu’il faut surtout voir l’épuisement d’un groupe usé jusqu’à la corde, poussé dans ses ultimes retranchements physiques et moraux après des années de mise en intra-compétition malsaine et permanente, ce vestiaire n’en pouvait plus de rien, tous parvenus au bout du rouleau et de ce qu’ils pouvaient supporter d’eux-mêmes.

    Ca + la perte progressive de l’adjuvant-doping, mid-70’s les Anglais sont par exemple totalement à niveau au registre de l’intensité : voilà ce que je tiendrais pour causes premières du retour dans le rang du club amstellodamois.

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    1. Ah, c’était à la gueule du client ? D’ailleurs, une question… Pourquoi l’URSS attendra la saison 1966-1967 pour présenter des clubs en Coupe d’Europe? Le Torpedo en c1…
      J’avoue ne pas comprendre. Ils sont présents dès le premier Euro. Au Basket, les clubs soviétiques gagnent les premières c1 dès les années 50…

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      1. Sujet en or pour un thésard, non?

        La mise sur les fonds baptismaux fut géopolitiquement plus équilibrée en basket.. en foot l’une ou l’autre histoires ne tardèrent à justifier (ou à prêter à alimenter?) certaines méfiances du bloc Est..

        Ça : ça me parait acquis! De là à ce que ce fut aussi simple, aussi binaire..?

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